Journal du corsaire Jean Doublet de Honfleur
istres des paroisses de sa ville natale, à c?té de ceux des autres enfants de Fran?ois Doublet et de Madeleine Fontaine, ses père et mère. Il résulte de là que l'on n'a point
dans l'entrepont du navire qui emportait vers la Nouvelle-France la fortune et les espérances de sa
de famille nous ont mis à portée de recueillir sur elle des informations nombreuses et précises. On en pourra juger par les notes déjà publiées dans la Revue historique et par celles qui nous restent encore
-tard Jacques II,-Doublet répondit: ?Monseigneur, je suis de bonne naissance,? il ne se vantait aucunement, il énon?ait simplement la vérité. Il para?trait même que les emplois en la possession de sa famille, ou la propriété de la moitié d'une sergenterie et gard
n la vicomté de Blangy; Guillaume Doublet, sieur des Bords, bourgeois, vivant en 1650.-Son a?eul paternel avait épousé Marguerite Auber, et était ainsi entré dans l'alliance d'une famille très-considérée parmi les bourgeois de Honfleur. Voici quelques-uns de ses membres que nous ont fait conna?tre des documents des XVIe et XVIIe siècles. Un Nicolas Auber était procureur-sindic des bourgeois en l'année 1550. Le bisa?eul maternel de Doublet se nommait Richard Auber; il remplissait les fonctions de receveur du duc d'Orléans pour le domaine de Roncheville. Ses deux grands-oncles, Jacques Auber l'a?né et Jacques Auber le jeune, furent receveurs des deniers municipaux de l'année 1621 à l'année 1674; leur habitation se voit encore6 avec sa porte basse en pierre, ses pilastres, ses bossages et ses murs en damier dans
le 13 mars 1712, Jeanne-Rose Doublet épousa Me Thomas Quillet, conseiller du roi, lieutenant général en la vicomté de Roncheville. Elle entrait dans l'alliance d'une famille de marchands aisés qui n'avaient eu d'autre ambition que celle de faire de leur fils un officier du roi, en lui achetant une charge à
ise-Marguerite-Rose Quillet, née à Honfleur, le 25 décembre 1712. Par l'alliance de sa fille, Doublet avait vu sa famille s'unir à la bourgeoisie aristocratique, un second mariage devait donner à celle-ci accès dans
nom: Guillaume Naguet et Jean Naguet. Le premier, Jacques Naguet, se qualifiait avocat; il fut en effet, ?avocat de la communauté.? Mais il est certain qu'en réalité il exer?ait la profession de marchand-armateur, qu'il ?faisoit, ainsi que s'exprime un ancien document8, train et trafic de marchandises par terre et par mer.? Il fut anobli par lettres-patentes de février 1522, et ses fils, Adrien et Louis dits Naguet, produisirent en 1540 l'anoblissement donné à leur père9. A une époque antérieure à cette date, les Naguet avaient fait l'acquisition d'une terre située en la paroisse de Pennedepie. On conna?t bien aujourd'hui encore la m
il fut plus tard lieutenant de MM. les maréchaux de France. De son mariage il eut un fils qui, le 5 octobre 1767, re?ut comme son père et comme son a?eul le prénom d'Alexandre. Notre époque a connu cet Alexandre de Naguet de St-Georges menant à Honfleur une existence très retirée et tant soit peu étrange. Le rameau qu'il représentait s'
OGIQUE DE LA F
ARD
domaine de
S AUBE
657; épousa en 1619, Suzanne Esna
ran?ois
n, procureur du
OISE
du Monarque, capit. d
ille de 1657 à 1660, de 16
l'amirauté.
tes; échevin d
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p. vers 1680, Catherin
e navire. C
roi en l
RAN?OIS
ers 1717, Charles Mi
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-Baptiste Lelièvre,
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rt en l'an VI; ép. en 1
LES LELIèVR
contr?leur
OIS D
620, Margu
OIS D
663), mort avant 1678; ép. Madeleine F
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ép. en 1692, Fran?oise Fossard, mor
s 1660. JACQ
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conseiller du roi, lieutenant général de la vicomté
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ARGUERITE-R
exandre de Naguet, écuyer, sieur de Saint-G
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OISE-
OBERT-JACQUES-ALEXAND.
9, mort en 1773; ép. en 1765 Thérèse-Victo
b. 1742. ROSE-
.-Gabr. Dandel, écuye
E NAGUET DE
e 1767, ép. Delle Chauffer de Barnevi
ICTOIRE-CONSTANCE
ier 1772, ép.
INE-SOPHIE DE NAG
rt. éLISABETH-AN
s-Marie de
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marquis
ULAINCOURT. Mme L