Le petit vieux des Batignolles

s, j'éta

e ce que faisait mon énigmat

s rentrées tardives, ses soudaines disparitions, les craintes et

importait m

hir et de délibérer m'était revenue, et j'examin

hambranle de la porte mon regard

en, n'y trahissait

sance et en même temps des habitu

un faux pli aux rideaux, et le bois des meub

et du commissaire de police étaient exactes, et que le pauvre vieillard ava

et un foulard de nuit. Sur la table, à la tête du lit, j'apercevais un verre

Mais la bougie qui avait éclairé le crime était consumée, le meurtrier s'était enfui sans la souf

'un coup, sans effort, sans pour ains

précision, que nulle circonstance n'y manquait, avec une telle solidité qu'aujourd'hui encore je pourrais dessiner l'appartement du ?petit vieux des Bati

e, ma faculté ma?tresse, que je n'avais pas encore eu l

op vivement ému pour a

?lant, irrésistible: m'approcher du

re l'obsession de cette envie. Mais la

ma présence?...

t cas, ne faisai

oujours près de la fenêtre; le greffier, à demi-voi

osait à l'accompliss

ièvre me tenait qui me rendait comme insensible aux

'agenouiller près du cadavre,

s-vous là?...? j'agissais lentement et posément,

ine. Il avait beaucoup de cheveux encore, d'un blanc jaunatre, bouclés sur la nuque. Sa barbe grise, forte et drue, paraissait n'avoir pas été faite depuis cinq o

uné. Elle était calme, je dirai plus, souriante. Les

ent prompte, qu'il conservait ce

e idée qui se prés

onciliables: une mort soudaine, et ces cinq lettres: M

e la vengeance avait pu lui prêter une telle énergie... Et quelle rage n'avait pas d? être

sage du cadavre se

pé à la gorge et l'arme avait

ces redoutables couteaux catalans, larges comme la main, qui co

été remué par d'auss

ence inou?e, et mon c?ur, dans ma

je donc dé

annihilait ma volonté, je pris entre mes mains, pour l

des doigts de la gauche, l'indicat

gauche que le vieillard ava

érissés sur la tête, et plus pale assurément que le mort qui

d Die

ce cri, bondirent,

andèrent-ils ensem

il me semblait que j'avais la bouche pleine de sable

...

ux près du cadavre. Ce que j'avais vu, il le vit, et m

ux, déclara-t-il, qui a tra

nt bouche béante, il leur expliqua cette circon

pas fait attention! répéta

t prisait

'on ne voit point... Mais n'importe! voilà la situation diablement changée.

approuva le

z stupide pour se dénoncer en écrivant son nom à c?té du co

ait devenu

. Monistrol n'est pas le coupable... Quel est-il?... C

police entrait, qui, s'ad

eur... Monistrol est arrêté et é