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Raven

Raven

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Chapter 1 Douce rose

Word Count: 5031    |    Released on: 02/06/2021

se it is the color of love, p

issus, toile, charbon et autre tandis que les femmes s'occupaient des enfants ou des travaux subtils. Elles étaient regroupés pour parler de la nouvelle... Les gens travaillaient un peu plus ces derniers temps pour pouvoir permettre à leurs enfants, aßnés ou cadets de s'élever dans les rangs. Oui, car tout était fin pr

es aussi se pomponnaient, voulant faire bonne figure devant le grand Duc. Ils et elles

se mariée. Par folie ou id

ues mois et allait se marier. Le cadet était ùgé de vingt-cinq ans et avait eu son premier fils il y a déjà un an. Puis

gue et majestueuse. Ses manches transparentes remontait jusqu'au épaules et tombait dans une fente dorsale. Une magnifique robe rouge qu'elle comptait accorder à ses lÚvres. Déterminé à la caser avec un nob

de l'un de ses frÚres et partit en direction d'une petite clairiÚre située au nord de la ville. Lorsqu'il faisait chaud, le lac

t. Était elle un objet ? Pour ĂȘtre passer d'un homme Ă  l'autre ? Si elle pouvait rester seule, elle le ferait. Mais cela dĂ©shonorerait sa famille. Un comble n'est ce pas ? Secouant la tĂȘte pour chasser les pensĂ©es de son esprit, elle alla se baigner. Elle dĂ©tacha sa tunique aprĂšs avoir bien vĂ©rifiĂ© que p

la lumiĂšre attire les moustiques, et quand nous la regardons, nous avons mal aux yeux. Pourtant, on ne peut s'empĂȘcher d'en avoir besoin. Besoin d'elle pour quoi ? Sa mĂšre lui avait dĂ©jĂ  prĂ©sentĂ© une dizaine de prĂ©tendants, tous plus riches les uns

prendre a aimé un inconnu ? Vivre avec un inconnu ? Par

ent, sa mĂšre semblait vivre d'illu

se formait, flottant doucement sur l'eau. Ses longs cils projetaient leurs ombres sur ses pommettes. Ses cheveux bruns Ă©tais dĂ©sormais trempĂ©s. Elle avait retire sa tĂȘte de l'eau. Elle dĂ©gagea so

chaque cÎté, elle ne voyait rien d'anormal. Fronçant un

ama de ce relever pour rejoindre la rive lorsque son regard ce stoppa sur

coin, et elle le détailla sans plus attendre. Au fond d'elle, elle paniquait. Mais si il f

lady. Je m'excuse des conditions de notre rencontre mais il

si que ses sourcil étais trÚs sombre. Mais elle fut d'autant plus frapper par ses yeux violets. De magnifique Améthyste. Elle resta encrée dans son regard. Pendant plusieu

elle était pourtant effrayée. Co

a pas la jeune femme a s'empecher de le frapper. Elle du tout de meme résister, e

d'aller manger de

a t'il. Toujours bien enfoncer dans l'eau, elle s'Ă©car

om de dieu ! Elle paniquait réellement. Il se releva quelques se

? Elle faillit suffoquer, il voulait la rej

pensées mon dieu ! Elle recula encore plus jusqu'à ne presque plus avoir pied. Lui s'approchait rapidement, ne lui laissant aucun autre choix que de reculer. Les seul bruit autour d'eux étais les oiseaux, les clapotements de l'eau et leur respiration. Alors qu'il était à seulement quelques centimÚtre d'elle, elle fit un bon et se retrouvait dans la zone plus profonde. Elle ferma les yeux en se débattant. Deux grand

compte de la position embarrassante dans laquelle ils Ă©taient. Elle Ă©tait

ps des deux inconnues. Et le fr

pas que ses yeux s'aventure outre la limites accordĂ©. Il avait dĂ©jĂ  vue le corps d'une femme, plusieurs fois mĂȘme ! Mais il refusait d'agir sans qu'on soit consentants. MĂȘme s'il avait

s que le bourreau se retournait, ni une ni deux elle sortit et s'habilla a la vitesse de la lumiĂšre. Lorsqu'elle retrouva sa vieille robe b

pire l'un de ses frĂšres. Seul son pĂšre aurait pu un minimum la couvrir. Mais Dieu faisait sourde oreille. Elle souffla en entendant son nom. Et se dirigea vers le

aillir. -De sortis, mÚre Elle souffla, sûre

in se passe le bal du Duc de Castel. Et il y choisira sa futur épouse. Si tu n'est pas choisis le prochain prétendant sera ton mari. En seulement quelques mot, sa mÚre réussis à lui faire perdre toute trac

nt oser les traĂźtres ! Ils avaient tous peur de leur mĂšre, aprĂšs tout elle Ă©tait d'une lignĂ©e puissante. Elle sortis de la piĂšce sans mĂȘme demander l'auto

le avec une connaissance. Céleste lui avait parlé de légende.

ue mais plus légÚre. Gracieuse et trÚs sophistiquer c'est

le observait le tableau face à elle. La salle étais illuminée par de grande bougie, un lustre tenait au plafond. Le sol étais tellement bien lavé qu'elle apercevait son reflet, du marbre. Des bouquets étaient disposés sur chaque table ainsi que des bougies qui n'était bizarrement pas éteinte. Elle s'avança hésitante, puis caress

lisse les plis de peau. Sa tĂȘte se balança en arriĂšre, elle pris une longue respiration. Les yeux fermĂ©s. Elle s'Ă©tait abaissĂ©, les jambes droites sur leur pointe. Alors que ses pieds

es yeux fermĂ©s Ă  Ă©couter la musique dans sa tĂȘte. D'un coup brusque elle ce releva, le corbeau cria de nouveau. Elle leva les bras bien haut, la nuit ne tarderai plus. Elle tourna, encore, une fois, puis deux, puis trois. Elle releva ses jupons, et fit deux pas. Avec grĂące. Elle remonta des escaliers, toujours cette mĂ©lodie dans la tĂȘte. Et repris une rose, lorsqu'elle arriva tout en haut. Elle la lança, aucun bruit ne venait la dĂ©ranger dans sa transe. La fleur atterrie au milieu de la salle, ju

tomba au sol. ClĂŽturant o

laissait passer sa robe, celle si essaya plutÎt de ce concentrer sur l'une des douce mélodies qui se jouait dans le salon. De fines bretelles recouvrait ses épaules, et

s nattes enroulĂ©s derriĂšre sa tĂȘte, libĂ©rant son cou pĂąle. Puis vins le maquillage, r

voulait seulement lui assurer un avenir, un statut et un bonheur. Mais bon sang qu'est ce que c'Ă©tait lo

jeune femme hocha la tĂȘte. Repliant une fois de plus un plis imaginaire sur sa robe, elle semblait stresser. Mais pas pa

. Lorsqu'elle y entra c'est sans surprise qu'elle l'a découvri

arrivante, pendant que les hommes eux ne ce gĂȘnaient en aucun cas de la regarder. Mais au lieu de se diriger, comme sa mĂšre vers des femmes bien habiller, elle s'arrĂȘta au niveau du buffet, un buffet que personne n'avais toucher. Et bien ! Cela serait fĂącheux de gĂącher tant de bonne chose, Non ? Elle salivais dĂ©jĂ . Les chocolat

nom roulait tellement bien sous cette langue. Elle avala le

ous lĂ  ?" Se

moi mademoiselle Donogan ré

ui ai je l'honneur ?" Un sourire si faux qu'

n main. M'accorderiez vous cette danse en votre charmante compagnie ? La jeune femme encore dĂ©stabilisĂ©e par sa rĂ©vĂ©lation hocha simplement la tĂȘte. Puis elle sentit le regarde de sa mĂšre, elle tourna la tĂȘte et aperçu celle ci lui sourire.

pris la main et l'amena au centre. Lui saisissant la taille d'une main et

us mademoise

mon chĂšre Duc? Un sourire malicieux pris place sur ses lĂšvres, alors q

me Raven.

n Donogan. Il ha

trĂšs or

inconnu, personne ne le portais jusqu'Ă  elle. En tout cas

elle ne le sente lui ressaisir la taille et chuchoter dans son cou. Ses mains étaient disposés de tel sorte à ce qu'on croyait qu

ir. Avant qu'elle n'ai pu dire quoique ce soit, il déposa un lége

ue n

n non, non non et non ! Il m'a donné un rendez vous ! Je ne voulais pas ! Pen

ire de sa génit

us ton charme. Celle ci marmonna des mots incompréhen

e point ? Argh elle devait lui parler. Sa mÚre se précipita vers ses amies, leurs racontant déjà quel couleur choisirait elle pour la cérémonie. Elle aperçu une nouvelle fille s'appro

tes ? Demanda-ell

vue dancer avec le duc. Houston engl

ent au ruisseau. Je suis heureuse de te voir

e de la soirée se passa normalement, la jeune femme avait passer le re

n avait mal. Elle lui disait quelque chose. Comme s'il l'avait déjà vue... Il rejoignit les autres hommes dans une salle annexée. Un cigare à la main. Il était celui qui commandait ici. Mais d'aprÚs sa mÚre, un descendant devait rassurer

e joie ferai parfaitement l'affaire. Certain en avait invité pour amuser la galerie. De nouveau en rogne, celui ci pris une femme trÚs peu habiller pour ce genre de soirée et la ramena dans sa chambre en fermant la po

u'il ne tombe sur la femme. Il repris doucem

s plaĂźt. Dit il

ocs. Il se ralluma un cigare, et rejeta la fumĂ©e dans le vent frais. Il avait hĂąte de choisir sa femme et de partir de cette ville brĂ»lante. Il avait l'habitude du froid et non de la chaleur, il aimait les hiver rude, ceux oĂč la brume apparaĂźt. OĂč l'on passe la plus part

ui fallait trouver

gies et quelques trace Ă©taitent apparu sous ses yeux. Mais malgrĂ© ça elle se releva, et attacha ses long cheveux marrons avec un fil. DĂ©sormais en tailleur sur son lit elle comptait les nombreux grattement que la branche effectuait sur sa vitre. La chaleur Ă©tais prĂ©sente, malgrĂ© l'hiver dĂ©jĂ  bien arriver. Elle Ă©tais Ă©puiser mais ne trouvait pas le sommeil. Quand d'un coup une pensĂ©e lui vint en tĂȘte. Elle en compagnie du Duc. Oh non non non non, oh non non non ! MĂšre n'avait pas dit que si le Duc s'intĂ©ressait Ă  moi.. ! Non c'est impossible ! Je ne peux pas ! Je ne

que t'es t'il arriver. Sa mĂšre ar

ire la petite rouquine se précipita vers la jeune fille. Attrapant un

erminer de coudre cette partie la. elle montra

aut l'affamé. La jeune femme fronça les sourcils, elle n'était pas si innocente

re le duc mon enfant. el

importante... avant qu'elle n'ai pu co

e la rose serai sûrement parfaite.

atte

e mariage spasse avant le dĂ©but du printemps. Le duc devra retourner au nord, alors dĂ©pĂȘche toi, bonne chance ma fille. Conclue sa mĂšre avec un geste. Elle lui pris la main, la caressa d'un geste maternel. DĂ©passant l'embrasure de la porte elle l'abandonna seule face au

lui ou celle qui touchera le célÚbre Castel. Sa demeure était tout simplement gigantesque. Un homme d'une cinquantaine d'années vint lui indiquer la direction à prendre, il était grand et trÚs fin. Il se présenta comme étant Aristide, chef gouvernant fidÚle assigné à toute les propriétés du Duc. C'était le chef des domestiques

re et s'Ă©clipsa. Elle pris une grande inspiration et s'apprĂȘta a toquer lorsque l

elle Houston. Je

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