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Le paravent de soie et d'or

Chapter 4 No.4

Word Count: 1244    |    Released on: 04/12/2017

s un combat glorieux. La jeune fille vivait seule avec sa vieille grand'mère et quelques serviteurs.

unes filles chinoises; elle brodait peu, préférant la lecture, ou les jeux en plein air; l'appartement intérieur où les femmes

son miroir d'acier poli, semblable au disque de la lune, elle vit qu'elle avait les yeux rouges et gonflés; pour ne pas inquiéter

, un coup frappé sur le gong de la

t de si grand

son, et deux serviteurs couraient vers la porte du jardin; mais lorsqu'ils l'eurent ouverte ils ne virent personne.

d'mère en levant les bras au ciel; q

cordon de soie qui ferme

e, écrite sur du papi

e puissant offre ces objets sans

, quelqu'un de puissant! co

'est sans doute une plaisanterie,

mme un serpent au repos; les perles étaient grosses comme des pois, toutes semblables et d'une pureté sans pareille. Certainement, il e?t été impossible de trouver un collier comparable à celui-là dans tout l

n frappant ses mains l'une contre l'autre. Depuis qu

t effrayée; ce n'est certainement pas Li-Tso-Pé qui m

c, avec l'aide de sa grand'mère, à composer une lettre où elle expliquait aux magistrats de la ville ce qui s'était passé. L'écrit n'était pas encore terminé que le gong retentit

ent venir un mandarin de premier rang en grand costume de cour, suivi de deux hommes,

à la jeune fille et pli

'on nomme Lon-Foo? de

tia Lon-Foo to

puis parler qu'à genoux, sache que celui dont tu as re?u ce matin les présents, celui qui m'envoie vers

a grand'mère en s'affa

ue demain un cortège magnifique viendra la chercher pour la conduire en grande pompe au palais impérial. J'espère, ajouta le haut fonctionnaire,

le mandarin s'éloigna sans que Lon-F

nnaissances pour leur apprendre la merveilleuse nouvelle, et bient?t la maison fut pleine de monde. Lon-Foo se laissa complimenter sans para?tre apercev

tomber sur une chaise et demeura longtemps immobile, le regard fixé sur le pl

, dit-elle. Je suis libre encore; demai

quelques coffrets, prit ses économies de jeune fille, une toute petite somme, puis un paquet de fleurs fanées et de lettres, et jeta sur ses épaules une robe de couleur sombre. Elle éteignit la lumière et descendit l'escalier avec précaution. La porte de la maison était fermée intérieurement par une barre de fer que la j

e coin de terre où j'ai été si heureuse, mais c'est le ciel qui nous a protégés en ordonna

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