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Un billet de loterie

Chapter 4 No.4

Word Count: 2342    |    Released on: 06/12/2017

d on en gagne. Il y a là-bas des coups de vent d'équinoxe qui surprennent les batiments, au large des ?les, et détruisent en quelques heures toute une flottille de pêche. Mais le

s ne leur manquent pas de se familiariser avec les fureurs de l'Océan. Lorsqu'ils traversent l'Atlantique Nord pour aller de conserve aux lointaines pêcheries de Terre-Neuve, ils ont déjà fait preuve de courage. Pendant leur enfanc

commerce de l'Europe septentrionale. Peut-être furent-ils un peu pirates dans les anciens temps; mais la piraterie c'était alors la fa?on

ait. Toute son enfance s'était passée dans ce port, l'un des plus fréquentés du royaume scandinave. Avant de prendre la grande mer, il avait été un audacieux gamin des fiords, un dénicheur d'oiseaux aquatiques, un pêcheur de ces innombrables poissons qui servent à fabriquer le stock-fish. Puis, de

ais de venir revoir la famille qu'il ai

les montagnes, jusque sur les plus hauts plateaux du Telemark. Les fields après les fiords, ?a lui allait à ce

uvé dans toute la province un meilleur gar?on, une nature plus sympathique, un caractère plus dévoué, un coeur plus chaud? Ole pour mari, le bonheur de Hulda était assuré. Ce fut donc avec l'agrément de sa mère et de son frère que la je

nt dans la grande salle, Ole di

ent une id

répondit la

que nous devrio

e croi

e Hansen, comme si c'e?t été une aff

e, répliqua Jo?l, je deviendrais

probable, mon Jo?l, que je n

'est p

e verr

mieux! répondit Jo?l, qui

tendu, Hulda? dem

e, répondit l

reprit Ole. Il y a beau temp

auss

m'est venu, je

i m

te voyant chaque jour plus b

peu loin,

re rougir, puisque c'est vrai! Est-ce que vous ne vou

n p

toi,

?… be

Ole en souriant, vous au

sen, est-ce qu'ils ne te para?tront pas t

, que je ne voyagerai plus,

voyagera

me serait possible de te qu

our la dernière f

ra de rapporter quelques économies, puisque MM. Help frè

e braves ge

pondit Ole, et bien connus, bien ap

lda, quand tu ne navigueras

, j'ai pensé à une affaire qui ne serait peut-être pas mauvaise. Pourquoi n'établirions-nous pas un service de messageries entre Drammen, Kongsberg et les ga

oi d

ns que je suis bien décidé à tout faire pour que Hulda soit

lui tendant la main. N'est-ce pas à moitié fait déjà, et ex

it un instant d

nsistant d'un ton joyeux

répondi

aura plus à

ama

s pas de re

, mon c

age, je pense qu'il vaut mieux

evenu pour conduire Hulda à l'église de Moel, où notre ami, le pasteu

été décidé le mariage

Ka

Bergen. Mais, avant de se quitter, les deux futurs avaient ét

ne rappelle-t-il pas ce qui se passait entre chrétiens aux premiers jours de l'église? Mais il ne faudrait pas croire que les fian?ailles ne soient qu'un simple échange de paroles, dont la

ités qui s'appellent ?villes de dimanche?, où s'élève le presbytère, le ?proestegjelb?. C'est là que se rassemblent, pour l'office, les principales familles de la paroisse. Elles y ont même un pied-à-terre dans lequel elles viennent s'établir pendant vingt-quat

s dix kilomètres de France, depuis Dal jusqu'à l'extrémité du lac Tinn.

naissait et il la connaissait de longue date. Il avait vu grandir Hulda et Jo?l. Il les aimait comme il aimait ce ?jeune loup marin? de Ol

ieux d'ailleurs. Il arriva en compagnie de Jo?l, qui était allé à sa rencontre à mi-route. On laisse à penser s'il fut bien re?u dans l'auberge de

de quelques amis et des voisins de l'auberge, Ole jura d'épouser Hulda, et Hulda jura d'épouser Ole, au retour du dernier voyage q

ques jours après les fian?ailles, il aurait pu profiter des droits qu'elles lui donnaient sans conteste: rendre visite à la jeune fille quand il lui conviendrait, lui écrire lorsqu'il lui plairait de

ur les pêcheries de Terre-Neuve. Maintenant, Hulda n'avait plus qu'à attendre les l

sait dans des conditions favorables. La pêche était fructueuse, les profits seraient grands. Et puis, à la fin de chaque lettre, Ole parlait toujours d'un certain secret e

uiète, renfermée. Et une circonstance, dont elle ne par

scierie où elle était allée commander un sac de copeaux au contrema?tre Lengling, et se dirigeait vers l

dame Hansen? de

elle, mais je ne

eprit l'homme. Je su

et j'y r

dit vivement

ne connaissez pas

t, qui y

ame Hansen, dont la figure pal

su que je venais à Dal, il m'a prié

rien d

ndrait probablement vous voir le mois proc

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