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Corysandre

Chapter 7 No.7

Word Count: 701    |    Released on: 30/11/2017

le lendemain matin

yeux: ce qui s'était passé la veille, ce qu'il avait entendu, l'insouciance de madame d'Arver

que Savine pourrait lui dire ne ferait qu'irriter sa méchante humeur au lieu de l'adoucir; il ne tenait pas à ce qu'on lui rac

menait avant son départ? Il en avait tristement exploré le vide. Où cela le conduirait-il? Quelle solitude en lui et autour de lui. Pas de famille. La seule femme qu'il e?t eu du bonheur à revoir, sa cousine Christine, était au couvent. Des amis qui méritaient à peine le titre de camarades de plaisir. Un grand nom, une belle fortune dont

re ses habitudes d'autrefois, d'autres plaisirs que ceux

ien

passer de Balbine à Cara, de Car

é pour mieux qu

térêt à lui et qu'il pouvait mourir sans qu'on le pleurat. On dirait: ?Si jeune, le pauvre gar?on!? et, ce serait tout. Plusieurs fois aussi il avait eu des heures, des journées de plaisir, des élans d'admirati

e se marie

ait jamais que cell

se, sans une heure de lassitude ou d'ennui, la femme qu'il aimerait

un nom comme le sien, c'était un de

tre et son nom de tomber aux mains de ceux qui se disaient sa famille,-ces Condri

le jeu de la lumière dans les branches des arbres, qu'il réfléchissait ainsi. Tout

eille et à laquelle il n'avait plus pensé venait de se dresser devant lui, évoquée par cette musique

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