L'auberge de l'ange gardien
e-gar
deux mioches et pour mon chien?? reco
e quoi loger tout le monde,
a?che et souriante parut
i dort tranquillement sur le dos du chien! Un joli enfant et un brave animal! il ne bouge pas plus qu'un chien de plomb, de peur d'éveiller l'enfant.? Pourtant le bruit réveilla enf
! veux J
tu ce bon monsieur? Il nous a amenés ici; tu vas avoir de la soupe. N'est
on gar?on; de la soupe e
ge regardait et écou
onnez-nous vite de la soupe pour les petits, qui ont l'estomac creux, quelque fricot pour tous, et je me charge du chien; un vieil ami, n'est-ce pas, Capitaine? Capitaine répondit en remuant la queue et en léchant la main de son ma?tre. Moutier avait débarrassé Paul de la blouse qui l'enveloppait et il l'avait posé à terre. Paul regardait tout et t
t bon, le beurre n'est pas mauvais, les radis sont tout
beurre; ils burent du cidre; puis vint un haricot de mouton aux pommes de terre. La bonne et jolie figure de Jacques était radieuse; Paul riait, baisait les mains de Jacques toutes les fois qu'il pouvait les attraper. Jacques avait de son frère les soins les plus touchants; jamais il ne l'oubliait; lui-même ne passait q
c impatience l'explication que lui avait promise ce dernier, et lui servait les meilleurs morceaux, son meilleur cidre et sa plus vieille eau-
mioches?, le
da Jacques en sautant en bas de sa chaise
, ma bonne h?tesse, où allez-vous caser les pe
de derrière. Voici au bout de l'allée un baquet plein d'eau et un pot
au qui est dans le baquet pour la
petit gar?on; mais prends gar
h?tesse avait pris une chaise et s'était placée en face de lui, attendant qu'il e?t fini pour enlever le couvert. Quand Moutie
omise, dit-il; la voici: elle n'est pas lon
s de Jacques et en racontant les soins qu'il avait eus de son petit frère, son dévouement, sa tendresse
: je quitte mon régiment et je rentre au pays. C'est que je n'y suis pas encore; j'ai à faire quatre étapes de sept à huit lieues. Et comment tra?ner ces enfants si jeunes, par la pluie, la boue, le vent? Et puis, je suis gar?on; je ne suis pas chez moi; personne pour les garder. Mon frère est aubergiste, comme vo
.. ce que je ferais?... Parol
t pas un conseil, cel
dise?... D'abord, je ne les laisserai
bien ce que j
les donnerais pas
C'est bie
les emmènerais pa
'est ce qu
ne vois qu'un moyen...
être que si. D
C'est de me
qui lui fit baisser les yeux et qui la fit
as. Vous vous dites que je ne suis peut-être pas la bonne femme que je parais; que je rend
ulement,... seulement,... je ne sais comment dire,... je vous suis obligé,
er, l'épicier, et bien d'autres encore: ils vous diront tous que je ne suis pas une méchante femme. Je suis veuve; j'ai vingt-six ans; je n'ai pas d'enfants, je suis seule avec ma soeur qui a dix-sept ans; nous gagnons notre vie sans trop de mal; nous ne manquons de rien; nous faisons même de petites é
h?tesse dans les siennes et la regard
accent pénétré. Où
rdin du presbytère; pousse
ui demander un bon conseil. Il faut croire que les renseignements ne furent p
-il en souriant.. Je vous les laisserai... demain;
vous vouliez vous donner un peu de temps pour savoir comment je suis et pour voir i
ans reproche; et je ne dis pas que je ne r
à présent je vais voir à mes enfants; ne voilà-t-il pas les soins maternels qui commencent? D'abord il me fau
la; j'ai tout juste mes frais de route et une pièce de dix francs pour l'imprévu; un cigare, un raccommodage de souliers, une petite charité en passant, à plus pauvre que moi. Par exemple, je peux partager la pièce,
en suis pas à cinq francs près. Gardez-la; votre bonne
souriant un signe de tête