L'auberge de l'ange gardien
ange les affai
général, il y entra doucement et le trouva dans la même position dans laquelle il l'avait laissé endormi la veille; il aurait pu le croire privé de vie si la respiration bruyante et l'attitude calme du malade ne l'eussent entièrement rassuré. Il ressortit aussi doucement qu'il était entré, rentra dans la salle, roula et rangea son lit im
ne fussiez encore endormi;
s ce lit de prince, ma bonne Elfy, et je me
comme cela, comme si je
pour cela que vous avez si proprement roulé vos matelas, et tout rangé dans ce coin juste en face de la porte d'entré
urquoi cela, s
rester dans la salle où tout le monde entre et où nou
is bien voir cela; dites
que nous n'aurons pas à le descendre ce soir,
la chambre indiquée par Elfy; après l'avoir po
des meubles neufs et quelques livres! Rien n'y ma
re de notre ami Moutier. C'était un souvenir pour vous et de vous. Jacques va quelquefois balayer, e
er Elfy, Jacques et Paul se précipitèrent
dit Jacques. Restez-y, mon ami, mon bon
nt! Je ne servirais qu'à gêne
de fois que vous leur seriez bien utile, et que vous êtes si bon e
nd j'aurai fait un peu fortune, je serai aussi bien heureux ici. Mais je ne suis qu'
déjeuner: elle cassa du sucre, passa le café et alla chercher du lait à la ferme. Le général était éveillé, et, s
nt mis en appétit, et, si vous pouviez m'avoir une tass
n général; on va vous en a
tte de lait. Elfy avait l'air triste et ne disait rien. Moutier lui
avez-vous? Pourquo
as à nous et que vous ne vous inquiétez pas
e, si j'avais de quoi vivre sans vous être à charge, je serais le plus heureux des hommes, parce que je pourrais alors espérer ne jamais vous quitter, ma chère
es yeux, so
ous êtes pauvre et que je suis r
penser. Sans amis, sans aucun attachement dans le monde, m'unir à une douce, pieuse, charmante femme comme vous, Elfy; vivre auprès
r à votre manque de fortune quand vous pouvez, en partageant la n?tre, nous donner ce même bonheur qui vous manque? Et ma so
Moutier et d'Elfy sans qu'ils l'aper?ussent, et, enlevant Elfy dans ses bras, il la poussa dans ceux de Moutier en disant: ?C'est moi qui vous marie! Que diable! ne
evoir une somme aussi considérable!
e que je ne vaux pas dix mille francs, moi? Ne m'avez-vous pas sauvé deux fois? Deux fois dix mille, cela ne fait-il pas vingt? Oseriez-vous me soutenir que
iait de la voir rire et
e courage me manque pour laisser échapper cette
n s'essuyant le front. Vous convenez
n général! ma r
mitié du ménage, et je commence par embrasser ma nouvelle petite amie. Le général
vous donnez si généreusement à..., à..., comment vous a
pondit-il e
rcie de l'avoir décidé à... Ah! mon Dieu! et moi qui n'ai
général restait la bouche o
? Sa soeur ne sait rien, et elle-même se
as attention, mon généra
e n'y comprends rien, moi. Mais ce qu
et sage, et pieuse,
té marié aussi, moi! une femme adorable, douce, bonne!... Quel démon, sapristi! Si j'
, mon général, que vous n'a
Non parbleu! Un ang
heureux du général et sa face bouffie et marbrée lui ?tère
énéral, et vous nous retrouverez aussi
rmante et qu'elle a une physionomie on ne peut plus agréable. Je crois comme vous que vous serez heureux; quan
. Mme Blidot entrait à ce moment, suivie d'Elfy et des enfant
de m'être emparé d'Elfy sans attendre votre cons
econde, votre troisième visite et vos lettres ont entretenu mon idée; vous y parliez toujours d'Elfy; quand vous êtes revenu, les choses se sont pro
ement pourvu. Et me voici bient?t votre heureux frère, dit-il en embrassant encore Mme Blidot; et votre très heureux mari et serviteur, ajouta-t-il en se tournant vers Elfy.-Mon bon ami, mon bon ami, s'écri
d! dit Elfy en l'embrassa
es dire à mon ami, puis
'ai été pendant deux jours au pain et à l'eau, et que l'estomac me tiraille que je n'y ti
ci tout prêt. Mettez-
jourd'hui, dit Moutier en enlevant le plateau d
, puisque vous êtes le ma?
erviteur, re
prisonnier, dit le g
mon général; la paix se fait
mi, j'aimerais autant res
sisterez à mon m
ameux repas que je vous donnerai! Tout de chez Chevet. Vous ne connaissez pas ?a; mais m