La petite roque
à notre chair, ronronnent et se roulent sur nous en nous regardant de leurs yeux jaunes qui ne sembl
quand elles ouvrent les bras, les lèvres tendues, quand on les étreint, le c?ur bondissant, quand on go?te la joie sensuelle et savoureuse de leur caresse délicate
Baudelaire les a divinement chanté
rvents et les s
ent, dans leu
nts et doux, org
t frileux, et com
cience et de
silence et l'horr
pris pour ses co
au servage incli
songeant les n
x allongés au fo
endormir dans u
s sont pleins d'ét
s d'or, ainsi q
ent leurs prune