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Le monsieur au parapluie

Chapter 4 PISTACHE

Word Count: 2699    |    Released on: 30/11/2017

de longues causeries avec mesdames Jujube mère et fille; la première, craignant toujours qu'il ne se lassat des inexactitudes réité

tant de plaisir à attendre dans votre société, que ?a me donne une physionomie que M. Jujubès attrape tout de suite. Dans les premiers temps il me disait toujours: Souriez! souriez!... A présent, ah! bien, il n'a pas besoin de me demander ?a: je pense s

gracieuseté, la galanterie, le caractèr

uis un mois que le futur pharmacien venait tous les jo

ujube et, même, on l'avait présenté à des dames qui lui avaient envoyé des invitations pour leurs soirées: il avait polké et valsé

cun sait la difficulté de la conversation entre un cavalier inexpérimenté et sa danseuse; quand le premier a parlé de la chaleur, du mouvement trop vif ou trop lent des instrumentistes, du talent ou de l'insuffisance du pianiste, si l'on danse au piano; quand

la durée de la danse: les gens d'esprit et les imbéciles, surtout ces derniers, les an

Pistache lui répondait que le premier constipe, tandis que l'autre relache, sans purger à proprement parler, et il arrivait tout naturellement à causer de son futur établissement, une excellente maison... malgré les spécialités sur lesquelles on gagne peu, mais qu'on est forcé de tenir, pour ne pas l

rait, très coquettement habillée, au comptoir, près d'un globe d'eau minérale rose, dont le reflet illuminerait les joues de la jolie caissière; il devenait, on le voit, to

ncertitudes et madame Jujube n'hésita pas à lui affirmer que l'allusion était claire et trahissait l'amour de Pistache. Devait-on encourage

tres aussi me convenaient; c'est

; s'ils avaient été réellement amoure

oureux, mais il tient p

idées, en général... et avant de le fair

udrait savoir aussi, avant de l

s en causant avec lui je mettrai la conversation sur le chapitre du mariage; alors je prononcerai d'un air indifférent le nom de M. Pistac

e Georgette, dit-elle, qui demand

s attendre la réponse de sa mère

ez besoin de permission? Et embrassant la jeune fille:-Vous êtes

dit Georgette en l

e Monsieur Marocain, que mon mari avait rencontré,

e que M. Jujubès lui avait dit des sentiments de cette chèr

:-Il para?t que vous a

race aux excellentes

, qui ne manquait jamais l'occasion de faire valoir l'importance t

ès reconnaissan

e; je vais lui dire que vous êtes

illes restées seules, Athalie fit asseoir

s bavardé! dit-elle; nous devons a

, une visite par semaine à ma marraine, sauf elle, je ne vois personne; c'e

chère, nous ne connaissons que des gens

s connais

s sont

trouvero

je vous dise donc, ma c

tez-moi d

on amie, lui conta ce que nous

ce jeune homme, je conclus qu'i

si bon; seulement convi

drait-il pas? Il a une s

a des idées.... Enfin je

y compt

us le

u cadeau de noces

? un c

eindre votre év

ie, que c'est

votre père la com

e! mais et vous... est-ce que v

on Georgette d

un.-Georgette alors racont

il ge

isait des choses si dr?les et qui me faisaie

e racontant ?a.... Est-ce que ?a n'a

resta

da Athalie; ma question p

tentions; le conseil qu'elle lui avait donné, de les faire conna?tre à monsieur et à madame Maroc

pas mon père? Maman l'a prévenu, il va venir

e tout cela!

uille, c'est

considérait comme ses inférieurs, et la jeune fille, prétextant l'impossibilité de prolonger sa visi

resta

e Pistache et, par extraordi

s-tu? demanda-t-il à s

Athalie en sortant; bien s

sourire dédaigneux, de rencontrer le si

r de je ne sais quoi?

ai pas prise; je l'ai salué, m'excusant de ne pouvoir m'arrêter et je me suis éloigné, le laissant, tout déconcerté, regarder à l'aise un militaire qui s'é

nous en voudrons, des gendres, dit-elle, et qui se croiraient

! approu

'avons pas à chercher bien lo

rs à monsieur et madame Jujube, demanda des nouvelles de mad

le peintre, je vous suis; arrangez votre

assa dans

s-tu parler? d

de ton mod

t brusquement le vaniteux

compagne intimidée par le ton de cette

ien a

seulement, que si

on ne lui

n modèle et madame Jujube alla racon

anqué! dit Atha

nqué?... Ton père n'a opposé aucun refus. Ce

n, mais j'ai bien comp

essé que de simples galanteries?... Si tu t'éta

ique.... Il e

le portrait durera longtemps, et je trouverai bien l'

de peinture où il avait exposé son propre portrait, laissant le tendre

e, seule avec Pistache, entreprit immédiat

homme de son prochain établissement, de l'impossibilité où il se trouverait bient?t de rester gar?on,

etit ménage où l'on s'aime bien, c'est t

it madame Jujube, l'argen

ux! voilà le vrai bonheur; ?

s connaissaient les exigences, les go?ts dépensiers de la femme qui leur a apporté une dot: 100,000 francs par exem

je voudrais, par exemple, c'est une f

le père ser

; un arti

beau-père artiste et u

oui,

vous dans vos c

t que j'ai ?a, s

vous assez ses par

madame, b

ien,

e aussi, veulent-ils b

tune... je sais bien, quant à moi, que je n'aurais

e vous me faite

ame Jujube, Pistache finit par ouvrir son c?ur et demand

moi, n'en doutez pa

jubès... pensez-vo

résent, ne lui dites pas un mot de vos intentions... laissez-nous faire et bornez-vous à gagner ses bonnes graces; il est trè

dame; je vais lui en

ache sortit, p

courut retro

est déclaré; il ne veut q

, en voilà donc un! Puis avec cra

lle, nous arriverons à le

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