Le Rhin, Tome I
n vieux savant retiré dan
mouth, ce qui veut dire: non, non, il n'est pas mort. Il ouvrit les yeux et vit un vieillard et une jeune fille agenouillés près de lui. Le vieillard était noir comme la nuit, il avait une longue barbe blanche tressée en petites nattes à la mode des a
et la jeune fille le regardaient avec douceur. Il s'approcha d'un de ces arbres; les feuilles se contractèrent; les branches se retirèrent; les fleurs, qui étaient d'un blanc pale, devinrent
eune fille et Pécopin étaient tous trois assis sur une natte dans une cabane faite en feuilles de palm
s petits blessés des vipères, au serpent aveugle à manger du fenouil pour recouvrer la vue, à l'ours attaqué de la cataracte à irriter les abeilles pour se faire piquer les yeux. J'ai apporté aux aigles, lesquelles sont étroites, la pierre ?tites qui les fait pondre aisément. Si le geai se purge avec la feuille du laurier, la tortue avec la cigu?, le cerf avec le dictame, le loup avec la mandragore, le sanglier avec le lierre, la tourterelle avec l'herbe helxine; si les chevaux gênés par le sang s'ouvrent eux-mêmes une veine de la cuisse de derrière; si le stellion, à l'époque de la mue, dévore sa peau pour se guérir du mal caduc; si l'hirondelle guérit les ophthalmies de ses petits avec la pierre calidoine qu'elle va
igneur, dit Pécopin.
enue, il