C'Etait ainsi…
malgré la défense formelle de M. de Beule, faisait part en cachette aux autres ouvriers, de la sagesse sociale qu'il puisait chaque matin dans son petit journal. Il ne tarissait pas; il
heure en était plus d'une fois gatée. Et, pourtant, ils l'écoutaient volontiers pour dire ?
a vieille Natse, qui avait tant vu et souffert dans sa vie, hochait la t?te en silence, ou disait que c'était trop tris
hes en ce monde et il y en aura toujours.
vres et des riches sur terre? Et pourquoi faudrait-il que ce soit toujours au tout des m?mes ? ?tre riches et au tou
t?tue. Leo regardait devant lui d'un air so
i peut rien y changer? deman
tout ?a! affirmait Pierken
ikandouss! ric
re un instant; mais
de entier. Les r?les seront retournés. Les riches
el! plaisant
rken en s'animant. Vous ne savez pas tout se qui s'y trouv
isser le prix de la gniole dans ton jo
Fikandouss! c
autres, répondait Pierken, haussa
ntant. Obscurément ils continuaient ? ruminer toutes ces questions, et leurs conceptions rudimentaires les égaraient dans un dédale et ils n'en sortaient plus. Souvent, apr?s ces déclarations troublantes de Pierken, régnait dans la fabrique un
tait une réalité, une chose palpable qui vous consolait et ranimait sans détours. Ils dégusta
petits verres au lieu d'un,
bles chim?res d'avenir. Ils en étaient malades; ils en avaient la gorge s?che; ?a faisait mal. Aussi, lorsque M. de Beule ou M. Triphon ne r?daient pas par l?, il leur arrivait de se cotis
u fond, elles en étaient plut?t jalouses. ?Vous n'en ?tes pas?? jetait Fikandouss en passant. Elles secouaient la t?te; non, elles
oires; et, pour la plus futile question, Leo lachait un ?Oooo ... uuu ... iiii ...? tonitruant, qui allait peut-?tre bien traverser les murs de la ?fosse? et le jardin, jusqu'aux oreilles de M. de Beule, pour le faire sursauter ? son b