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La San-Felice, Tome I

Chapter 7 LE FILS DE LA MORTE.

Word Count: 2823    |    Released on: 06/12/2017

ent l'intérêt sur les individus qui, dans l'un ou l'autre cas, jouent les r?les principaux et desquels on attend ou le salut ou le triomphe, en repoussant les personnages inférieurs dans l'ombre, et e

e souciaient p

ur vie à leur patrie et à leurs concitoyens, oublièrent complétement que deux de leurs semblables, fils de cette patrie et, par conséquent, leurs frères, venaient de dispara?tre dans le gouffre, pour ne s'occuper que de celui qui se rattachait à eux par un lien d'intérêt non-seulement général, mais

es, cependant, murm

'étaient des zéros dont une na

enaient de les voir dispara?tre, c'est ce dont il nous est permis de douter en les voyant s'élancer, le visage joyeux et les bras ouver

es sourcils noirs et naturellement froncés donnaient à cette tête sculpturale une expression de volonté inflexible, contre laquelle on comprenait que tout, excepté les mystérieux et implacables décrets du sort, avait d? se briser et devait se briser encore; si ses habits n'eussent été ruisselants d'eau, si les boucles de ses cheveux n'eussent point porté les traces de son passage à travers les

de dire qu'il était vêtu de cet élégant et héro?que costume républicain que les Hoche, les Marceau, les Desaix et les Kléber ont non-seulement rendu historique, mais aussi fait

ignorant complètement, ainsi que le général Championnet, dont il était l'émissaire, les événements qu'avaient accumulés en un jour l'arrivée de Nelson et l'inqualifiable accueil qui lui avait été fait; que le jeune officier était ostensiblement envoyé à l'ambassadeur que l'on croyait encore à son poste, comme chargé de dépêches, et

e Deo, de Galiani et de Vitaliano, pendus sur un simple soup?on de connivence avec les républicains fran?ais, prouvait que le gouvernement napolitain n'attendait que l'occasion de déployer une suprême rigueur et ne manquerait pas cette occasion si elle se présentait. La conféren

comprend quelle impression dut faire sur l'organisation impressionnable de ces hommes du Midi cet

qui était trempé de l'eau de la mer et qui, joint à la fra?cheur du lieu dans lequel on se trouvait, pouvait avoir de graves inconvénients pour la santé du naufragé; malgré les objections de celui-ci, il lui fallut donc céder; il resta seul avec son ami Hector Caraffa, qui voulut absolument

ont il est question ici; il habitait encore, en 1860, cette mai

instant, ce fut notre héros, à son tour, qui, s'avan

raire, vous est inconnu, et vous ne savez de moi, comme Caraffa et par Caraffa, que quelques actions de courage qui me sont communes avec les plus humbles et les plus ignorés des soldats de l'armée fran?aise. Or, quand on va combattre pour la même cause, risquer sa vie pour le même principe, mourir peut-être sur le mê

hes, et toutes les mains s'étendirent ver

perdus dans l'espace, comme s'il cherchait quelque fant?me invisible à tous, excepté à lui; et qui

un instant

ne petite maison de campagne isolée au milieu d'une grande forêt; nous n'avions qu'un d

ne qui le venait chercher; puis, deux heures, quatre heures, six heures après, le lendemain même quelquefois, reparaissait sans dire où il avait

il donnait plus d'attention encore au développement de mes forces

et le latin; nous parlions indifféremment l'italien et le fran?ais; tout le temps q

heval, à faire des armes et à

ent une hirondelle au vol et je cassais presque à chaque cou

ant ces deux ans, j'y appris l'anglais avec un professeur que nous pr?mes à la maison, et qui mangeait et

nous arrêtames en Saxe. Par le même procédé que j'avais appris l'anglais, j'appris l'allema

er, de première force à l'escrime; j'eusse pu disputer le prix de la carabine au meilleur c

ices. J'y prenais plaisir, et, mon go?t se trouvant d'accord avec sa volonté,

r; j'avais habité trois pays sans les conna?tre; j'étais très-familier avec les h

naissais q

père ordonnait, j'obéissais. Ma lumière et ma volonté venaient de l

l me dit un jour, comme deux

s par

i pas même à

allon

essivement l'allemand et le fran?ais, tout à coup, en arrivant au bord d'un grand lac, j'entendis

, nous nous arrêtames quelques jours; mon père achetait deux chevaux e

ées d'anglais et d'arabe; j'essayai le cheval qui m'était des

partie de la nuit. Vers deux heures du matin, nous

sames jusqu'à sep

éjeunames; avant de pa

charge te

gés, mon père,

vec la plus grande précaution, de peur qu'ils ne r

observation; j'ai dit mon obéissance passive aux

la main aussi s?r

z-vous

Ou

eai un de mes pistolets dans l'arbre; puis, avec le second, je doublai si

e son couteau, s'assura que les deu

-il, recharge

ont re

tons

s pistolets dans leurs fontes; je remarquai que

part

lle où s'agitait une grande foule; c'était jour de

te la route, mon père était demeuré muet; mais cela ne m'avait point éto

arrêtames; il se haussa sur ses étr

ce de gentilhomme campagnard, à l'air insolent, parlait haut, et, gesticulant avec une cravache qu'il ten

as; je me retournai de so

s mon père? l

it-il.-Vois-

equ

i a des ch

le

erai le doigt au ciel, tu feras feu et tu lui mettras la balle au milie

on père s'approcha de l'homme, lui dit quelques mots

ignit l'homme roux au mili

on voulut nous barrer le chem

l; et celui-ci, ajouta-t-il en me montr

sort?mes de la ville sans que nul pen

nos chevaux au galop et nous ne nous a

nta l'histoire que je vais

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