Les Pardaillan, Tome 05, Pardaillan et Fausta
Pardaillan, l'abbesse Claudine de Beauvilliers en
dissimulé dans la tapisserie, et par cette étroite ouverture, é
du roi, Claudine de Beauvilliers re
roi, qui, remarquant l'expression sérieuse de sa ph
e, d'où vient ce nuage qu
rs! et les soucis de notre char
t, Claudine se lan?a dans un long exposé des devoirs de sa charge d
tte somme, je sauve votre maison
sidérablement à l'énoncé de cette somme plus
somme énorme?... Ah! si les Parisiens m'ouvraient
'arranger!... Si au moins vous me faisiez la promesse d'une
Fontevrault est la première du royaume. Il faut
oyal amant, n'ayant obtenu que des promesses très vagues.
donc me tourner du c?té de Fausta, qui, elle, au m
peler une soeur converse, à qui elle donna des ins
Mariange, et
ariange introduisait auprès de l'abbesse un caval
Claudine, veuillez vous asseo
inclina et, sur
Bussi-Leclerc proscrit, il a suff
dail
Bussi-Leclerc passerait au travers des a
, dit Claudine
tte personne soit avisée du danger qu'elle court, et, connaissant votre haine contre M. de Pardaillan, je vous ai fa
t protecteur? dit Bus
au
Elle n'est d
te et bien viva
el intérêt avez-vous, vous, à avis
nir de l'abbaye... Celle que j'ai si longtemps appelée ma souverai
e, d'aviser Fausta que le sire de Pardaillan est à ses trousses et la veut cont
e France sur la tête
c bondit, et
Fausta dans cette en
e ces paroles. Elle n'en p
S'il devient roi de France, l'abbaye de Montmartre
mprends admirablement. J'accepte donc d'être votre
on, la princesse la porte au roi d'Espagne, M. de Pardaillan doit s'en emparer pour le compte de Henri de Navarre, et, vous, vous devez avert
si, madame, dit
ter quelques solides compagnons. Que dev
us ai envoyé à elle et que je su
dis adieu, dit Bu
t sur la route d'Orléans et,
orrespondance directe avec les principaux ministres de Philippe et un des premiers à accueillir et soutenir les prétentions de ce souverain au tr?ne de France... Pour tout dire, vous avez été un personnage avec lequel il fallait compter. Et maintenant? Que suis-je maintenant? La déco
i plus d'autre solution que de me retirer à l'étranger et d'y vivre obscur et oublié, à ce moment survient cette brave, cette excellente, cette digne abbesse qui me remet le pied à l'étrier, qui me donne le moyen de me refaire une situation magnifique auprès de Phili