Jean qui grogne et Jean qui rit
on extraordinaire de Kersac qui geignait, se retournait,
renvoyer Jean; il m'
Jean en s'approchant du l
RS
ici? Depuis q
E
ement fait semblant. Mais vous souffrez, mo
RS
Jean. Et que faire, maintenant, au milieu de la nuit
E
lure dans le village, c'est à maman qu'on venait, et on était guéri en peu de temps. Vous allez voir; je vais vous masser
nd succès, car, au bout de trois quarts d'heure, le pied, dégonflé, n'occasionnait plus aucune souffrance, et Kersac dormait profondément. Lorsque Jean vit l'heureux effet qu'il avait ob
orloge de la salle sonna six heures. Jean s
RS
emercier du bien que tu m'as fait; c'est que j'ai do
E
réellement bi
RS
is ce n'est rien auprès de ce que j'avais
E
aissiez faire encore un massage,
RS
dras; j'ai confian
voulut se lever, disant qu'il se sentait tout à fait guéri; mais Jean voulut continuer,
ausser. Jean lui dit qu'il fallait bander le pied, sans quoi la cheville pourrait tourner et l'enflure repara?tre. Il alla deman
E
nsieur, vous
RS
Cela me se
E
sieur; vous
puis plus franchement; enfin il s'app
'est que je ne souffre plus du tout; d
nde surprise, trouva Jeannot qui pansait le cheval et qui avait eu la bonne pe
RS
si empressé. Continue, mon gar?on. Jean m'a si bien guéri avec son mas
rnant vers Jea
ier de Sainte-Anne, près de Vannes. Si jamais tu as besoin de gagner ta vie, ou s'il te faut quelque argent ou n'importe quoi, rappelle-toi que Kersac a de l'ami
ait trop chère; il trouva plus avantageux de prendre tout ce qui restait
pendant qu'il achève son avoine; puis nous le fero
t, et il rentra dans sa chambre av
RS
pas aujour
E
de rire; je ferais plus volonti
RS
quoi
E
bien bon pour moi et pour Jeannot. Vous reverrai-je jamais? C'es
changé d'humeur avec son cousin; son visage était souriant, tandis que celui de Jean était triste. Ils se mirent à table; Jeannot seul parlait et riait. Quand le déjeuner fut achevé, Kersac se
our Kérantré, vous ferez donner de nos nouvelles à
RS
ne lui en ferai pas donner, mai
E
élène Dutec, on vous y mènera; c'est sur la route, une petite maison isolée, entourée de lierre. Et puis, monsieu
rsac une dernière fois; au moment de s
je vais vous mener à la gare du chemin
E
cela,
RS
vais t'expliquer cel
ut au trot, Kersa
re pour payer ta place et celle de Jeannot jusqu'à Paris: de cette fa?on je serai plus tranquille. Je n'aimais pas, Jean, à te savoir sur les grandes routes,
paquets de Kérantré et d'Auray, et que leurs bourses étaient suffisamment garnies. Ils arrivèrent à la gare; Kersac donna son cheval à garder à un des gar?ons de l'auberge; il prit des billets de troisième pour Jean et Jeannot, leur recommanda de ne pas les perdre, parce qu'
endait, pensa moins au départ de Kersac. Le siffl
Billionaires
Billionaires
Romance
Werewolf
Romance
Werewolf