Pauvre Blaise
créés par le bon Dieu, et, malgré sa grande taille, le plus doux, le plus obéissant. Venez,
résentation du savoir-faire de l'éléphant, le ma?tre passa une sébile devant toutes les personnes présentes, et chacun y déposa son offrande. La sébile se trouvant suffisamment remplie, le ma?tre fit déployer à l'éléphant tous ses talents. Il lui fit lancer une énorme boule et la recevoir au bout de sa trompe; il lui fit saluer la compagnie; déboucher une bouteille de vin, en verser un verre plein, l'avaler sans en répandre une goutte, en v
permission de coucher dans une de ses granges. M. de Trénilly y consentit, à la grande joie d
er à votre éléphant? d
ufs, Monsieur, et un baquet de s
boulettes?
, Monsieur; elles ne
les boulettes de l'éléphant, et nou
l'ouvrage pour le ma?tre d'école qui m'a commandé de
as plus tard; vi
ur; plus tard je n'
s à Blaise de venir jouer avec moi; il croit
M. de Trénilly, tu trav
nsieur le
quelque impatience: il est bon d'aimer à travailler, ma
r et à pas lents Jules qui courait à la ferme pour
iens voir tout ce qu'on met dan
t douze oeufs, une bouteille de lait, une livre de beurre et deux livres de pain; tout cela était mêlé, pétri et roulé. La soupe se composait d'un demi-tonneau d'
Blaise, il mange à un seul repas ce qui nous s
U
s de viande; il vous faut de la
AI
anche, et il ne nous en faut pas beaucoup; avec un morceau
ent. Moi, je ne mange que de la viande; q
AI
, avec du pain, bien entendu. Quant
U
donnait pas de viande, je
AI
; et quand on a faim on trouve bon tout ce qui se mange. Mais voyez, voilà qu
la grange; il
n; quand l'éléphant va manger et pendant qu'il mange
n tapant du pied; j'aurais v
anc de pierre qui est sous la fenêtre; vous verrez
aitement l'éléphant saisir les boules avec sa trompe et les porter à sa bouc
les et Blaise, qui restaient à la fenêtre, et allongea
out juste dans ma poche une demi-douzaine de pommes que j'a
sa trompe pour en demander encore, Jules tira de sa poche une longue épingle avec laquelle il embrochait les pauvres papillons et hannetons qu'il attrapait, et piqua fortement le bout de la trompe de l'éléphant. Celui-ci parut
Blaise en lui faisant voir ses deux ma
chose pour toi, mon cher, s'écr
ens d'un fort coup d'éping
comme pour chercher un moyen de se venger. Puis il se retourna vers u
ia Jules. Dieu, quelle q
sa trompe vers Jules et lui lan?a un jet d'eau avec une telle force, que Jules fut jeté de dessus le banc où il était monté.
e sachant comment faire finir la vengeance de l'éléphant, s'éla
phant, cesse, je t'en prie!
ait être inondé, il arrêta sa vengeance, et, rentrant sa trompe; il r
peine fut-il debout, qu'il repou
e banc; c'est toi qui as attiré l'éléphant en lui donnant de vilaines
onter sur le banc pour que vous voyiez mieux; j'ai donné mes pommes à l'éléphant pour lui fai
ied et à coups de poing le pauvre Blaise, qui voulai
ules: quand Hélène le vit trempé des pieds à
ise, dit Jules, pleurant pendant qu'on
Lè
, tu as jeté Ju
AI
uoi M. Jules rejette la faute sur moi;
Lè
qui l'a mo
AI
oiselle, qui lui a crac
Lè
h! ah! ah! cela devait être dr?le, ca
AI
de même, et si je ne m'étais pas jeté devant M. Jules, l'ea
Lè
colère et pourquoi ne t'a-t-il p
t Hélène lui promit de le redire à sa maman, p
s'en retournait tristement à la maison, qu'el
C
petit dr?le pour lui tirer les oreilles; il
Lè
-il donc
C
garnement s'est mis à exciter l'éléphant; quand celui-ci a été bien en colère, Blaise s'est sauvé bravement; le pauvre Jules, qui était p
Lè
ois encore; Blaise vient de me raconter commen
de Trénilly fut très embarrassé, car, cette fois encore, l'un des deux men
ort avec Blaise, il lui arrive quelque facheuse aventure; et quand
Lè
je suis s?re que Blaise n'a au
C
tendant, j'engagerai Jules à jouer le moins possi