icon 0
icon TOP UP
rightIcon
icon Reading History
rightIcon
icon Log out
rightIcon
icon Get the APP
rightIcon

Pauvre Blaise

Chapter 7 LA MARE AUX SANGSUES

Word Count: 2659    |    Released on: 30/11/2017

se; mais M. de Trénilly venait de lui donner un ane, et il ava

ulez-vous que j'aille cherch

C

e voir sortir avec Blaise; il t'arriv

U

monter à ane, et j'ai beso

C

ces jours-ci et tu t'

U

parc, mais je voudrais aller dans les champ

C

ien, mais ne l'écoute pas et ne souff

t Jules en s'élan?ant hors de la

ut essoufflé

? dit-il, j'ai

, Monsieur, répondi

U

veux l'avoir

N

s, Monsieur, à arrach

U

le che

N

s, j'ai de l'

U

ez pas laisser Blaise venir avec moi, et p

N

, Monsieur; je ne crains rien,

U

c?té est

N

la mare a

U

elle-t-on mare

s sangsues dedans,

e aux sangsues; la route était pierreuse, mauvaise et assez longue, et, comme il ne connaissait pas bien le chemin, il mit près d'une heure pour y arriver. Il y trouva effectivement Blaise qui travaillait avec ardeur à arr

Blaise!?

Jules et reprit son

ec impatience, n'entends

AI

ne me demandiez rien, alors j

U

lle, c'est que j'

AI

nsieur Jules? J'ai

U

enade à ane. Maman ne veut pas

AI

puisque vous êtes venu seul, vous po

U

rossier, un impertinen

AI

e fois que vous aurez fait des contes; je ne puis pas vous e

U

non jamais, entends-tu bien, je

AI

e, moi? J'ai deux jambes qui valen

nt!? lui cria Jul

ait, sans le trouver, le moyen de le faire gronder, il ne voulait pas avouer qu'il avait désobéi en allant seul dans les c

où il y a des sangsues; je voud

les se montreraient; mais il ne vit rien encore. Il fit avancer un peu plus son ane, jusqu'à ce qu'il e?t de l'eau à mi-jambes; il commen?a alors à voir des bêtes noires, plates, longues comme le doigt, qui nageaient autour de l'ane, et qui se posaient su

put enlever, et les piq?res devenaient de plus en plus douloureuses; il en sentit une à la main, et vit avec effroi que c'était une sangsue qui s'y était attachée; il en était de même à la figure. Jules poussa des cris per?ants. Blaise, oubliant ses me

ieur Jules; il pourrait y en

ps; il trouva encore quelques sangsues dans le bas du pantalon et sur la veste. Après avoir bien exprimé l'eau des vêtements mouillés, il se déshabill

AI

u moins dans des vêtements secs et chauds, et vous ne prendrez pas froid. Maintenant, ce qu

U

vec tes vilains sabots;

AI

Monsieur Jules, pour qu'on vous porte s

U

m'as laissé aller seul,

AI

ais mes pommes de terre à rentrer; je ne pouvais pas dev

U

moi, tu m'aurais

AI

ais-je empêché? Vous n

U

s l'eau, tu l'aurais tenu par la bride, et t

AI

ns la mare, pour avoir cinquante

U

s jambes piquées! Moi, je n'aurais pas

AI

r empêché d'avoir encore une quinzaine de sangsues après vous, et pour vo

U

, une vieille blouse et d'affreux sabots qui me gênent. Tu es bien heureux d'avo

arrêtant, indigné de tant d'égo?sme, d'orgueil et d'i

aignait de grelotter dans ses beaux habits

à Jules, et, sentant le froid le gagner, il se mit à marcher bon train pour entrer chez lui,

, rends-moi mes habits! je te les ferai reprendre

Jules revenait chez lui honteux et inquiet. Les sangsues étaient tombé

e quand il le vit entrer

C

s, mon gar?on?

U

e, papa; c'

C

de ne pas vouloir te laisser aller avec lu

onne Hélène lui prodigua les premiers soins. En lavant le sang qui

s sangsues au visage? s'é

s après y avoir fait entrer le pauvre ane, et qui m'a forcé de mettre ses vi

dément irrité. Je l'obligerai bien vite de tout ren

que frappa

, dit l

qu'Anfry vient de rapporter; il demande c

ion M. de Trénilly. Tu disais, Jul

avec

probablement. Il aura eu peur de vous; j'ava

e parler dans ma chambre?, di

stique

t rhabillé Jules. Son père voulait l'emmener, mais Jules eut peur de

en entrant. Blaise m'a raconté l'accident qui lui

'étonne que votre fils ait osé vous parler d'un accident dont il a été l

N

laise n'a rien fait qui puisse mériter des reproches; au

C

que de le pousser dans un

N

t pouvait-il pousser M. Jules,

C

quand l'échange des habits prouve

N

ait dans les siens tout trempés, lorsque, l'entendant crier, il est venu à son secours; mais il

E TR

ous a conté cela, et vous le croy

avec

le ferais à mon égal, pour justifier mon fils; mais je puis, sans manquer au respect que je dois à Monsi

NILLY, av

e que Jules

, ave

ns, Monsie

avec ironie et u

donc, Monsieur Anfry, que vous a raconté M. Blaise pour vo

ec calme

le comte, ce n

oublier la visite que lui avait faite Jules à la recherche

y, qui commen?a lui-même à douter de la vérité du récit de Jules

retirer. Anfry, ajouta-t-il en le rappelant, si Blaise est coupable, comme je le crois et comme il l'a déjà été plu

N

e calomnie, de mensonge. Si je voyais mon fils dans une aussi triste voie, je l'en arracherais par la fo

a plein d'indignation et d'irritation contre

Anfry et son départ en l'absence de Blaise, avoua ces deux circonstances, qu'il n'avait pas osé révéler, dit-il, de peur d'être grondé pour avoir

it sa confiance pour le reste; mais il ne pouvait, il n'osait admettre tant de fausseté et de méchanceté dans son fils bi

Claim Your Bonus at the APP

Open