Pauvre Blaise
rge?, dit d'une voix impérieus
aise nettoyait la vaisselle, et Anfry était allé scier d
a porte et restait sur le seuil; il reg
tres, dit le valet en ricanant; si M. le comte passai
ivement Mme Anfry. Est-ce qu'il y manque quelque chose? Tout n'est-il pas en bon état? C'ét
OMES
e s'il se mêlait d'un con
ME A
out comme d'un prince et d'un roi; et je n'entends pas
OMES
us emporter pour un mot dit en plaisanterie; mais M. l
ME A
ois; allez le chercher là-bas,
OMES
nerait le temps d'aller faire un tour au vil
ME A
hier qu'on n'y entrait pas en blouse; il ne se m
OMES
ais prenez-y garde, on pourrait bien cherc
ME A
e tiens pas à y rester; nous sommes connus dans le pays, et no
ation; il se retira en grommelant, et remonta lentement l'avenue du chat
s demande, lui d
te pour me présenter chez M
'il vous veut comme vous êtes, re
se borna à r
a veste, secoua la poussière de ses
rudement un domestique
te m'a fai
, quoique vous soyez bien mal vêt
nne; j'aime autan
scendre l'escalier qu'
Puisque M. le comte vous a dema
ions pour vous?, dit Anfr
du comte de Trénilly
? lui cr
d'assez belle apparence, l'air hautain, mais le regard assez d
enfants? dit-il
N
monsieur
C
n ou
N
r?
C
l a
N
e a
C
-le au
N
rvice, Monsi
C
eu, puisque je vous
N
de onze ans pourrait faire le service de Monsieur le comte. Et s'il f
C
de mon concierge est-il trop grand s
N
pas assez grand seigneur pour eux; ils l'ont
le comte avec colère, quand ce sera
N
choses qui me feraient de la peine en lui faisant du mal, et j'ai
é de l'air décidé, mais franc, ouvert et honnête, qui donnait à toute sa personne quelque cho
son... Quand mon fils voudra jouer avec votre gar?on, il ira le chercher chez vous.
mte, à votre service,
rieux de savoir ce que leur ma?tre avait pu vouloir à un homme d'aussi petite importance qu'
le; il époussetait et netto
n de M. le comte?
AI
qu'un domestique, qui est venu
N
as été, j'e
AI
e n'ai guère envie de lier connaissance avec ce M
aresser toute la journée. En attendant, va me chercher ma serpe que j'ai laissée au b?cher; il
au b?cher et y trouva Jules de Trénilly, qui essayait de co
cette serpe, Monsieur?
U
à toi, je ne te
AI
est à papa; il m'a en
U
n ai besoin; lais
AI
oin aussi, je dois
U
ser tranquille
mena?a de la lancer à la tête de Blaise. Il fit, en effet, le mouvement de la jeter; la serpe, trop lourde, retomba sur son pied et lui fit une entaille
us blessé, Monsieur J
S, c
qui m'a fait mal. Il m
, avec
va à ta niche et n'en sors pas... Ne pleurez pas, pauvre Monsieur Jul
U
qu'il m'a donné
CH
en vrai? Je n'
U
t sa faute; si tu ne veux pas, je dira
CH
, il ne faut pas me faire chasser;
s dans ses bras et
immobile, stupéfait. Enfin
t raconter à papa, pour qu'il connaisse la vérité et
lle; son père l'atten
dit-il en recevant la serpe. Qu'e
; il avait à peine terminé son récit, que M. de Trénilly parut
z-moi ce petit dr?le, qui s'est cach
seul vers M
e crois savoir ce qui vous amène ici, et je sais q
E TR
nde entaille que lui a faite votre gar?on avec sa
N
n, c'est le v?tre qui
E TR
que mon fils s'est coupé pour le plaisir d'avoi
N
mte, mais par impru
de Trénilly ce que venait
e Trénilly, je veux l'ente
aise, qu'il trouva blo
N
le comte; il veut que tu lui racont
AI
. Il a l'air en col
N
s'il fait mine de te toucher, je t'emmène et nous quitter
on père, qui l'emmena devant M. de Trénilly. Blaise n'osa
fils a re?u sa blessure,
AI
Monsieur; j'ai insisté, il s'est faché, il a voulu m'en donner un coup;
E TR
e te dis q
E, vi
amais. Si j'avais blessé M. Jules, je l'aur
ion sur M. de Trénilly; il regarda alternativement
ules aurait-il fait ce conte, et pourquoi Michel l'aurait-il s
vec Blaise et lui répéta la défens