La petite roque
de 1870, M. Parisse, fonctionnaire du gouvernement. C'était alors une belle
petits hommes à bedaine et à jambes courtes, qui t
e commandé par M. Jean de Carmelin, un jeune officier décoré duran
mée en sa double enceinte d'énormes murailles, le commandant allait souvent se promene
la jeune femme aux prunelles brunes, aux cheveux noirs, au teint pale, de la belle et fra?che Méridionale qui montrait ses dents en souriant, restait flottante devant les yeux de l'officier qui continuait sa promenade en mangeant son cigare au lieu de le fumer; et
connaissaient. Il la salua assurément. Elle fut surprise et s'inclina, si peu, si peu, tout juste ce qu'il fallait pou
en le regardant au fond de leurs yeux plus souvent qu'à l'horizon. Et tous les soirs penda
se disaient mille choses plus intimes, de ces choses secrètes, charmantes dont on voit le reflet dans la d
balbutier ces mots que la femme devi
aimaient sans qu'ils se le fussent pr
se, elle, mais il voulait aller plus loin, lui. Et il la pres
lait pas, semblait rés
hasard: ?Mon mari vient de partir pour
d'ouvrir sa porte le soir même, vers onze heures. M
menait, rageur, sur les remparts, allant de l'école du tambour à l'école de peloton, et jet
ns une enveloppe, ces quatre mots: ?Ce soir, dix heures.? Et il
gue. Il la passa en partie à
autre enveloppe. Il trouva dedans ce télégramme: ?Ma chérie, af
véhément que le gar?on laissa t
urait. Il l'aurait par tous les moyens, d?t-il faire arrêter et emprisonner le ma
ad
i je serai à dix heures où vous savez. Ne craignez
de Car
r cette lettre, il d
s qui commandait après lui; et il lui dit, en roulan
ce que personne, vous entendez bien, personne n'entre ni ne sorte avant six heures du matin. Vous ferez aussi circuler des patrouilles dans les rues et forcerez les habitants à rentrer chez eux à neuf heure
ez bien
on comm
e de l'exécution de ces o
on comm
un verre de
rs, mon c
a liqueur jaune, et le ca