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La race future

Chapter 7 No.7

Word Count: 2594    |    Released on: 06/12/2017

ette magnificence de pierres et de métaux précieux, qui ornait les appartements plus publics. Les murs étaient tendu

beaucoup nos bouvreuils savants, qui ne peuvent guère aller au delà de deux morceaux et ne peuvent pas, je crois, chanter en partie. On aurait pu se croire à l'Opéra quand on écoutait les concerts de cette volière. C'étaient des duos, des trios, des quatuors et des ch?urs, tous notés et arrangés comme dans nos morceaux de musique. Si je voulais faire taire les oiseaux, je n'avais qu'à tirer un rideau sur la volière, et leur chant cessait dès qu'ils se trouvaient dans l'obscurité. Une autre ouverture servait de fenêtre, sans vitre, mais si l'on touchait un ressort, un volet s'élevait du plancher; il était formé d'une

fille Zee entrèrent dans ma chambre. Mon h?te, parlant toujours ma langue, me demanda, avec beaucoup de politesse, s'il me serait agréable de causer ou si je préférais rester seul. Je répondis que je serais très honoré et très charmé de cet

il y avait dans sa voix et dans ses yeux, quelque doux qu'ils fussent d'ailleurs, quelque chose qui me for?a d'obéir.

vages primitifs qui habitent les portions les plus désolées et les plus éloignées de notre monde, ne connaissant d'autre lumière que celle des feux volcaniques et se contentant d'errer à tatons dans l'obscurité, comme f

oyens avaient réussi à illuminer leurs régions impénétrables au soleil, je ne pouvais cependant comprendre qu'après avoir vu les globes célestes, on p?t comparer à leur éclat les lumières artificielles inventées pour les besoins des hommes. Mais mon h?te disait qu'il ava

de surprise que les gens de cette race manifestent rarement dans les cir

les vieilles traditions; il y a toujours de la vérité dans toutes l

s savante que je ne le suis; mais comme Directeur du Conseil de la Conservation des Lum

comment, de ce qu'il se plaisait à appeler un monde, j'étais descendu dans un autre monde. Je répondis que sous la surface de la terre il y avait des mines contenant des minéraux ou métaux nécessaires à nos besoins et à nos progrès dans les arts et l'industrie; je lui expliquai alors brièvement comment, en ex

aquelle elle tremble en prévoyant son destin. Choisissant comme exemple de la vie sociale aux états-Unis la ville où le progrès marche avec le plus de rapidité, je me lan?ai dans une description animée des m?urs de New-York. Mortifié de voir, à la physionomie de mes auditeurs, que je ne produisais pas l'impression favorable à laquelle je m'attendais, je m'élevai plus haut; j'insistai sur l'excellence des institutions démocratiques, sur la manière dont elles faisaient régner un tranquille bonheur par le gouvernement d'un parti, et sur la fa?on dont elles répandaient ce bonheur dans les masses en préférant, pour l'exercice du pouvoir et l'acquisition des honneurs, les citoyens les plus infimes sous le rapport de la fortune, de

rofonde, en faisant signe à sa fille et à moi de rester silencieux pendant qu'i

i et les miens, je vous adjure de ne rien révéler de votre monde à aucun de mes concitoyens,

de me conformer à vos dés

nt et sa main droite sur ma poitrine, ce qui est, pour cette race, une manière de s'engager po

'étranger a dit, ou pourra dire, soit à toi, soit

père sur les tempes, en

oi ou de moi puisse exposer l'état au danger, par le désir d'explorer un monde inconnu, une vague du

ue le vril?-

n'est qu'il embrasse dans ses branches nombreuses d'autres forces de la nature, auxquelles, dans nos nomenclatures scientifiques, on assigne différents noms, tels que magnétisme, galvanisme, etc.

es, que les formes variées sous lesquelles les forces de la matière nous sont manifestées ont une commune origine; ou, en d'autres termes, qu'elles sont en corrélation directe et dans u

fa?on dont on les produisait artificiellement, par exemple, dans la clairvoyance magnétique; mais que ces expériences étaient tombées dans l'oubli ou dans le mépris, en partie à cause des impostures grossières auxquelles elles donnaient lieu, en partie, parce que, même quand les effets sur certaines constitutions anormales se produisaient sans charlatanisme, cependant lorsqu'on les examinait de près et qu'on les analysait, les résultats en étaient peu satisfaisants; qu'on ne pouvait s'y appuyer pour établir un système de connaissances vraies, ou s'en servir dans un but pratique; de plus, que ces expériences étaient dangereuses pour les personnes crédules par les superstitions qu'elles tendaient à faire na?tre. Zee écouta ma réponse avec une attention pleine de bonté et me dit que des exemples semblables de tromperie et de crédulité avaient été fréquents dans leurs expériences scientifiques, quand la science était encore dans l'enfance, alors qu'on redoutait les propriétés du vril, mais qu'elle réservait une discussion plus approfondie de ce sujet pour le moment où je

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