icon 0
icon TOP UP
rightIcon
icon Reading History
rightIcon
icon Sign out
rightIcon
icon Get the APP
rightIcon
Le dernier chevalier

Le dernier chevalier

icon

Chapter 1 M. JOSEPH ET M. NICOLAS

Word Count: 2581    |    Released on: 06/12/2017

nt moqué et que nous avons remplacée par la névralgie, les médecins, pour leur commerce, étant obligés, comme les tailleurs, d

cédente dans le Hanovre, lors de la signature du traité de Kloster-Seven, qui sauva l'Angleterre, rétablit les affaires de la Prusse et commen?a la r

n?ais!? Bon M. de Voltaire! Il n

u du maréchal durait depuis tant de mois, je v

cheta sa

vous b

l'a

mberl

enc

our payer

frétille

rouvé bi

, frét

êche de c

t dans le

de Hanovre?. Ce nom fut la seule vengeance de la France contre le général d'armée philosophe qui, vainqueur et tenant le s

r Armand vécut jusqu'à cent ans, toujours galant, toujours guilleret, de plus en plus philosophe et, pour employer son style troubadour, ?n'ayant pas encore renoncé à plaire?. Il ét

à lui-même, auprès du berceau de son troisième fils, le comte d'Artois, depuis Charles X, condamné par les médecins. Sa femme, Marie-Josèphe de Saxe, ne devinait certes pas encore les angoisses de son prochain veuvage ni les soup?ons sinistres qui de

artisan de la guerre à outrance, destiné à conclure une désastreuse paix. M. de Bernis savait chanter le champagne et l'amour; s

e, qui, par le miracle de la bêtise humaine, est resté l'idole des ?patriotes?, déchirait sa patrie dans les billets doux qu'il écrivait au Prussien et crachait sur la religion avant de lui demander grace par devant notaire; le clergé lui-même se compromettait ?à et là par son relachement ou par sa ri

bach, et la ville fredonnait, avec tout l'esprit de l'univers qu'elle avait déjà et qu'elle p

, la lanter

rcher, où donc

à, pourtant,

donc en all

due et suis

s au grand jo

ciel! ah! mon

ux! la voilà!

leu! qui donc

s, c'est l'ar

latante de son génie. Acculé comme un sanglier aux abois, cerné par une meute de cent dix mille soldats, il s'était rué avec ses hommes de fer, au nombre de tren

is de races différentes, méprisant la sci

le perdu, l'écrasé qui larmoyait dans sa correspondance avec Voltaire sur son prochain suicide, se

t de chanter, pendant que la France maigr

flottes de guerre et de commerce, nos comptoirs et nos colonies, que nous abandonnions à leur sort avec gaieté. Nous perdions l'Inde, faute d'y envoyer des secours; nous faisions mieux, nous martyrisions ceux qui avaient vo

, cette France nouvelle, peuplée de Fran?ais-et-demi, où le ?vertueux? Washington préludait à sa carrière, incontestable

s qui le comparèrent au cardinal de Richelieu; sans doute parce qu'il eut l'honneur de miner pierre à pierre le monument politiq

inte femme par-dessus le marché; il sut flatter Mme de Pompadour, qui pouvait le servir, et persécuter les jésuites, qui devaient la combattre, caresser les philosophes qui montaient, tourner

rammes, encyclopédies, madrigaux, athéisme,

es jours engourdis? On ne s'étonne pas que Duclos ait appelé le marquis de Montcalm ?un anachronisme,? et que l'abbé de Bern

fit descente à l'auberge des Trois-Marchands, située rue Tiquetonne, au quartier d

éférence à tous autres dans les circonstances les plus délicates, soit qu'il f?t question de dénicher les pamphlétaires assez osés pour se moquer de la ?princesse

nnaires privés qu'on nomme des reporters. Leur emploi consis

que M. de Sartines devait installer définitivement les lanternes municipales qui portèrent un instant son nom avant de s'appeler réverbères. La rue Tiquetonne, étroite et e

rois Mages, rangés en ligne et se tenant par la main. La veuve Homayras, qui penchait vers la philosophie, parce qu'elle ne savait pas ce que c'était, n'avait point voulu de ces superstitions. D'ailleurs à quoi bon flatter les Mag

ropret et même cossu où la veuve Homayras tenait ses comptes. Je passais devant votre

e en couleurs et qui avait d? avoir pour elle toute seule, dans son temps, trois

rai

t à fait!... E

bouteille entamée qui contenait le vermillon de ses grosses joues, sous forme de vin d'

s arrête pas de boire ap

et quoique je n'aie pas soif du tout, j'accepte avec plaisir, rien que pour mettre mon

iègle qui ne lui allait point encore t

as le vin, non, mais ?a m'est

ais pourquoi vo

'un trait, comme si elle en e?t v

ici M. Joseph, ré

Marais: J

e sai

ap

Homayra

out? repr

ais pas lui faire d

Il vous est

d'un prince des fois q

est

mai

fai

est-à-dire.

h! con

e les

re, je n'y vois po

re la co

pas bien dans nos papier

nie de Jésus. Il parle de Madr

de Choiseul, nous nous en moquons comme

rso

l ne peut pas êt

av

inspecteur, prenant la bouteille à

votre estomac,

verre et pensa tout ha

. J'ai dit qu'il ne recevait personne, mais ce n'est

ui

eune

uve

les

elle

le

ste lo

u'au

-ils, tou

te, l'aut

jeune homm

M. Joseph

pelle-t-il, l

Nico

tout co

i, Nicolas

Joseph! M. Nicolas! M. Joseph qui a l'air d

ine. La maison n'est-elle pas ten

eur là-dedans. M. Marais s'e

it!... Mais le Nicolas

répondit Madeleine, ce

avait l'épée au fourreau et portait en outre le drapeau parlementaire. La première épithète appliquée au nom du très il

Claim Your Bonus at the APP

Open