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La fille des indiens rouges

Chapter 9 LA RIXE

Word Count: 2615    |    Released on: 30/11/2017

e arrivait avec une

s'il échappait aux grif

it qu'un moyen

it dans ses bras cinq ou six gros quartiers de pho

en groupe sous la

famées se précipitèrent, en grognant, en se disputant, sur cette

g-froid, Dubreuil avait plongé sous l

ge de pelisse et de bottes, tu en

la toilette du cap

ance, il se remettait

uni

blement, et en soufflant comme un soufflet de forge, il gravit sur un gla?on. On le vit ensuite arracher, avec ses énormes griffes, l'arme fichée dans son

lant vers ses ennemis, articula u

ui le renversa cette fois pour ne se relever jamais. Ses compagnons alors se ruèr

nèrent enfin, délivrant nos voyageurs des tra

les poursuivre tandis que l'apaisement de leur faim les rendait lourds et plus faciles à tuer. Dubreuil

t les ours fuyant vers le nord, ardemm

dit Triuniak, en mo

que nous devions nous

reu

ls nous recevront

es as vus. Peut-être leurs disposi

arsuk ne change jamais, répond

y a ici des pins, de la résine, le gibier para?t abondant. Si tu étais de mon avis, nou

ourus le dégo?taient-ils déjà de son projet, peut-être le désir de revoir d'anciens amis l'empor

poumons éviter te

cinq jours nous re

Si nous avions l'air de les fuir, ils nous traiteraien

te! nous n'

e un morse tout entier. Nous les i

! dit le capitaine en refoulant le dépit qu

oulu se cacher alors, qu'il était trop tard. On les avait aper?us, et les c

saires firent une halte et préparèrent

n différaient beaucoup par leur physionomie dure et repoussante. En leur

niak au capitaine, en jetant sur la n

i obéit à c

nt alors vers les arrivants.

du Succanunga. J'ai fait avec vous la guerre aux

-t-il quitté le Succa

langue que Triuniak, m

quelque pei

quitté le pays pour visiter les braves

: contrée des marai

ison? fit le sauvage

on coeur est droit, répliqua fièrement le Gro?

s'appro

aux venus poussèren

gh-y

uniak, un homme bl

igh-yaou! répét

eront-ils ami

ce, tournèrent les talons et coururent à toutes jambes rejo

passa sur son front, il machonna quelques paroles inintelli

satisfait, dit Dub

ais att

sur le vaisseau? Là, nous pourrion

rions aussi, et comme nous ne sommes pas les plus forts, cette crainte nous serait funeste. O

. Néanmoins, qu'allons-nous faire? Nous ne pouvons demeurer

ont, sois-en

né leur chasse! fit Guillaume

dit le Gro?nlanda

alors no

t. Je rapporterai les peaux, les piquets et des provisions,

la Toutou-Mak. Mais, de ce lieu, on ne la pouvait apercevoir, à cause

l se mit à creuser des trous pour

, en rampant, derrière les gla?ons épars sur la c?te, et avan?ait douceme

'un banc de neige, regarda le Fran?ais, comme pour s'assurer de l'identité de son homme,

lus, c'en était

es yeux, et ses regards to

ain trembla, et le trait mortel, déviant d

l, se précipitant en tro

r, le saisit par le capuchon de sa jaquette. Un seul effort de Kougib mit en deux le

happeras pas! proférait-i

andais avait g

son arc, qu'il portait sur le dos au moment de l'attaque. Il avait l'o

rracha un cr

sure. Ses forces diminuaient. Bient?t le frisson circula dans ses veines; ses

assez de vigueur pour vendre chèrement son existence, sinon pour perpé

sous lui il cacha une flèche, et repoussa son carquois

fidie fut

s à le conna?tre pour ne

on pouvoir, il recula à deux p

u attentes à mes jours! La première, je t'avais p

use contracta les

ant, je me laisserai aller à la pitié, car je te méprise plus que je ne te crai

comme une statue, mais le visage étincel

manda Dubreuil, en b

se moque d'Innuit-Ili. C'e

eprit Dubreuil, peu s

ib le

gib me

s lèvres ou de les fermer, ré

, je te tuerai

es mains; tue-mo

rise sur l'Esquimau, il recourut à la douceur, car il lui importait bien plus de conna?tre le sort de To

al; je panserai même ta blessure, si tu consens à rép

rge, comme s'il allait expirer, ah! je me

t, sa bouche frissonnait,

du froid qui précède le trépas, il oublia ses ressentiments, sa pru

moment, comme le carc

sur la poitrine du Fran?ais. Mais celui-ci avait amorti le coup en le parant avec son bras. Le d

èrent comme deux s

d'un autre. Si le capitaine était plus robuste le Gro?nlandais était plus agile; si le premier était moins grièvement blessé, l'autre avait l'habitude de ces combat corps à corps, et peut-êt

la force de contenir avec l'autre Dubreuil, qui le coucha sous lui, et,

l'un des arcs, puis il retourna son corps inerte, et avec la corde

ion, Dubreuil ouvrit sa p

it sans

ace et de neige fondante où cette scène s'était passée, il reprit

iak inquiet de son absence et

ui cria-t-

veux-tu dire

t ici... J

avec une agitation qui devait être intérieurement bien p

Dubreuil en indiquant la di

? fut-il demandé

s ce qu'elle

l'a poi

ère qu

Dieu pour moi, Innuit-Ili, remercie-le bien et dis-lui que

rons ici. C'est lui qui nous apprendra où est Toutou-Mak, et, ajouta-t-il

ant je t'embrasse! dit Triuniak, e

dans les bras

éserve habituelle des Esquimaux, que, peu après,

e songeait, certes, guère à lui en vouloir, il faut me pa

s avions le temps, je te prierais de recommen

urent bient?t transporté

èrent que des traces de sang et des débris

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