La fille des indiens rouges
e arrivait avec une
s'il échappait aux grif
it qu'un moyen
it dans ses bras cinq ou six gros quartiers de pho
en groupe sous la
famées se précipitèrent, en grognant, en se disputant, sur cette
g-froid, Dubreuil avait plongé sous l
ge de pelisse et de bottes, tu en
la toilette du cap
ance, il se remettait
uni
blement, et en soufflant comme un soufflet de forge, il gravit sur un gla?on. On le vit ensuite arracher, avec ses énormes griffes, l'arme fichée dans son
lant vers ses ennemis, articula u
ui le renversa cette fois pour ne se relever jamais. Ses compagnons alors se ruèr
nèrent enfin, délivrant nos voyageurs des tra
les poursuivre tandis que l'apaisement de leur faim les rendait lourds et plus faciles à tuer. Dubreuil
t les ours fuyant vers le nord, ardemm
dit Triuniak, en mo
que nous devions nous
reu
ls nous recevront
es as vus. Peut-être leurs disposi
arsuk ne change jamais, répond
y a ici des pins, de la résine, le gibier para?t abondant. Si tu étais de mon avis, nou
ourus le dégo?taient-ils déjà de son projet, peut-être le désir de revoir d'anciens amis l'empor
poumons éviter te
cinq jours nous re
Si nous avions l'air de les fuir, ils nous traiteraien
te! nous n'
e un morse tout entier. Nous les i
! dit le capitaine en refoulant le dépit qu
oulu se cacher alors, qu'il était trop tard. On les avait aper?us, et les c
saires firent une halte et préparèrent
n différaient beaucoup par leur physionomie dure et repoussante. En leur
niak au capitaine, en jetant sur la n
i obéit à c
nt alors vers les arrivants.
du Succanunga. J'ai fait avec vous la guerre aux
-t-il quitté le Succa
langue que Triuniak, m
quelque pei
quitté le pays pour visiter les braves
: contrée des marai
ison? fit le sauvage
on coeur est droit, répliqua fièrement le Gro?
s'appro
aux venus poussèren
gh-y
uniak, un homme bl
igh-yaou! répét
eront-ils ami
ce, tournèrent les talons et coururent à toutes jambes rejo
passa sur son front, il machonna quelques paroles inintelli
satisfait, dit Dub
ais att
sur le vaisseau? Là, nous pourrion
rions aussi, et comme nous ne sommes pas les plus forts, cette crainte nous serait funeste. O
. Néanmoins, qu'allons-nous faire? Nous ne pouvons demeurer
ont, sois-en
né leur chasse! fit Guillaume
dit le Gro?nlanda
alors no
t. Je rapporterai les peaux, les piquets et des provisions,
la Toutou-Mak. Mais, de ce lieu, on ne la pouvait apercevoir, à cause
l se mit à creuser des trous pour
, en rampant, derrière les gla?ons épars sur la c?te, et avan?ait douceme
'un banc de neige, regarda le Fran?ais, comme pour s'assurer de l'identité de son homme,
lus, c'en était
es yeux, et ses regards to
ain trembla, et le trait mortel, déviant d
l, se précipitant en tro
r, le saisit par le capuchon de sa jaquette. Un seul effort de Kougib mit en deux le
happeras pas! proférait-i
andais avait g
son arc, qu'il portait sur le dos au moment de l'attaque. Il avait l'o
rracha un cr
sure. Ses forces diminuaient. Bient?t le frisson circula dans ses veines; ses
assez de vigueur pour vendre chèrement son existence, sinon pour perpé
sous lui il cacha une flèche, et repoussa son carquois
fidie fut
s à le conna?tre pour ne
on pouvoir, il recula à deux p
u attentes à mes jours! La première, je t'avais p
use contracta les
ant, je me laisserai aller à la pitié, car je te méprise plus que je ne te crai
comme une statue, mais le visage étincel
manda Dubreuil, en b
se moque d'Innuit-Ili. C'e
eprit Dubreuil, peu s
ib le
gib me
s lèvres ou de les fermer, ré
, je te tuerai
es mains; tue-mo
rise sur l'Esquimau, il recourut à la douceur, car il lui importait bien plus de conna?tre le sort de To
al; je panserai même ta blessure, si tu consens à rép
rge, comme s'il allait expirer, ah! je me
t, sa bouche frissonnait,
du froid qui précède le trépas, il oublia ses ressentiments, sa pru
moment, comme le carc
sur la poitrine du Fran?ais. Mais celui-ci avait amorti le coup en le parant avec son bras. Le d
èrent comme deux s
d'un autre. Si le capitaine était plus robuste le Gro?nlandais était plus agile; si le premier était moins grièvement blessé, l'autre avait l'habitude de ces combat corps à corps, et peut-êt
la force de contenir avec l'autre Dubreuil, qui le coucha sous lui, et,
l'un des arcs, puis il retourna son corps inerte, et avec la corde
ion, Dubreuil ouvrit sa p
it sans
ace et de neige fondante où cette scène s'était passée, il reprit
iak inquiet de son absence et
ui cria-t-
veux-tu dire
t ici... J
avec une agitation qui devait être intérieurement bien p
Dubreuil en indiquant la di
? fut-il demandé
s ce qu'elle
l'a poi
ère qu
Dieu pour moi, Innuit-Ili, remercie-le bien et dis-lui que
rons ici. C'est lui qui nous apprendra où est Toutou-Mak, et, ajouta-t-il
ant je t'embrasse! dit Triuniak, e
dans les bras
éserve habituelle des Esquimaux, que, peu après,
e songeait, certes, guère à lui en vouloir, il faut me pa
s avions le temps, je te prierais de recommen
urent bient?t transporté
èrent que des traces de sang et des débris