La corde au cou
té, ni le docteur Seignebos, ni M. Galpin-Daveline n'avaient
quille autant que s'il e?t été chez lui, dans son cabinet, il lavait l'ép
dans le vide, d'insaisissables combinaisons. Peut-être songeait-il que sa bonne étoile l'avait enfin g
fférence. Il s'agitait sur son lit, et dès que M. Séne
ce tumulte? i
ui eut appris
orts!... Voilà le vrai malheur!... Pauvres gens, victimes de leur courage! Bolton, un gar?
avait entendu les derniers
-elle, d'une voix profondément troublée, ni la mère de Bo
i avaient découvert Cocoleu envahissaient la
demandaient-ils.
leu! s'écri
it, il faut qu'il le répète à la just
ce cher docteur, dont la vue lui rappelait cette fameuse ex
us allez l'interroger? deman
n? fit sèche
upide, idiot. Parce qu'il est incapable de saisir la
rnir un indice pr
pensez pas! Il est impossible que la justice t
in-Daveline se traduisait pa
j'ai à faire,
, je vous l'apporte. Je vous déclare que l'état mental de ce gar?on est tel qu'il ne saurait êtr
ouragement de M. Daubige
e sans issue. Que ferez-vous si ce malheureux répond à vos questions
ient, bouche béant
s tant innocent qu'on
e qu'il veut, le mat
s'est souvenu d'eux lorsque j'étais comme frappée de vertige et que tout le monde les oubli
oute expression par les brutalités dont il venait d'être l'objet
as... pas... peu
, je proteste, i
?tre qu'il n'était p
peut-être dangereux d'interroge
tait le ma?tre de la situation, armé des pouvoirs presq
a guise. (Et s'étant assis, et s'adressant à Cocoleu:) Voyons, mon gar?on, reprit-il de sa meilleur
répondi
deux pauvres pompiers... Et ce n'est pas tout: on a essayé d'assassiner le comte de Claudieuse.
grima?ante ne trahissait rien d
lait le docteur. T
Daveline l
gés de faire respecter mon caractère... (Et revenant au pauvre idiot:) Tous ces malheurs, mon ami, pours
dit Co
s qu'il so
i,
it arrêté par les gendarmes, mis en prison et jugé. Tu
t d'un instant, Cocole
a-t-il, à qui ce pauv
forma, on n'apprit rien. Peut-être Cocoleu n'av
ce pauvre sans cervelle ne dort autant dire jamais, et que toutes
trait de lumière. Changeant brusqu
la soirée? deman
dans... l
uand l'incendi
N
donc vu c
O
a-t-il
de Claudieuse, avec l'expression craintive et soumise
sista doucement la co
la dans les ye
mis le feu,
xp
O
Q
onsie
ène qui, pour mieux entendre, ne ret?nt s
e juge d'instruction ne parut pas l'entendre, et se p
ce monsieur?
O
le co
.. trè
ais s
, o
s'appel
la figure blême de Cocoleu; il hésita, puis
Bois... B
ments incrédules accueillirent ce nom. D'hés
diaire? disaient les paysans; à
e! déclara M.
rent M. Séneschal
etiré ses lunettes et les es
monsieur le juge d'instruction n'a pas
us. Il était devenu excessivement pale, et les efforts étaie
la République se
resterais là, considérant comme n
n exagérée qu'ils ont d'eux-mêmes, et qui se feraient hacher
qu'au bout,
lieu d'un silence si profond qu'on e?t ent
da-t-il, ce que tu dis? Comprends-tu que
ifeste. Des gouttes de sueur perlaient le long de ses tempes déprimées, e
s la vérité,
Boiscoran qui a mis
O
s'y est
e de Claudieuse, qui semblait indigné, à la comtes
sta le juge
ements à faire comprendre qu'il avait vu M. de Boiscoran, qu'il connaissait bien, sortir des journaux de sa poche, les enflammer avec une allumette et les
a le docteur, traduisant cer
si à ma?triser son trouble. Promen
gendarmes et je fais retirer tout le monde. (Après quoi, revenant à Cocoleu:) Pui
en bredouillant affreusement, une veste brune et un grand c
ent été effleurés d'un soup?on. C'était avec le costume décrit pa
le feu, poursuivit le
ché derrière
ensu
l, et, quand le ma?tre
ssures, M. de Claudieuse bondi
de ses stupides accusations! S'il a vu monsieur de Boiscoran mettre le feu et se cache
M. Séneschal et de M. Daubigeon, M
pas appelé? dema
ureux idiot. Il éclata d'un rire hébété et, presque aussit?t pris d'une cris
pale, ému, les sourcils froncés, la l
demanda à l'oreille le p
! dit-il à
O
'en poussant ce malheureux idiot, mon but était de faire éclater
ainte
re l'innocence ou la culpabilité de l'homme accusé par Cocoleu... (Et tout aussit?t, s'approchant du lit de M. de C
ignation enflammaien
'écria-t-il, que vous croyiez
on?a le juge. J'ai mission de déc
dit quel est l'état
vous prie de
eut un geste de c
vec monsieur de Boiscoran ne sont ni b
tendu dire, que vous êt
Boiscoran vit à Paris les trois quarts de l'année. Il n'est
exprimer sur son compte
Je suis légitimiste, il était orléaniste et est devenu démocrate. Je crois que seul le descendant de nos rois légitimes peut sauver notre pays, il est persuadé que la République est le salut de la France. Mais
Daveline notait les répon
politiques, reprit-il. Vous avez eu avec mo
gnifi
avez échangé d
e nous un malheureux cours d'eau qui est pour
aveline hoc
nsieur, dit-il. Vous avez eu, au su et vu
laudieuse par
it deux maudits bassets qui toujours s'échappaient de leur chenil et venaien
ontré monsieur de Boiscoran, vous l'avez mena
nnais; mais j'avais tort, mi
êtes animés, vous menaciez, il vous a couché en joue... Ne l