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Une histoire d'Amour, George Sand and A. de Musset,

Chapter 6 No.6

Word Count: 9544    |    Released on: 06/12/2017

poète et l'amoureux sincère. Le spectacle de sa détresse nous d

ne convalescents. George Sand a fait en lui u

de cet amour. Il en portera l'empoisonnement toute sa vie... Chenavard m'a conté maintes fois comment, au lit de

mémoire i

yeux que je

romis de s'écrire. L'adieu du poète n'a pas été sans un déchirement profond. Elle aussi, en le

Sacy, est daté de Venise, 29 mars. Elle y est retournée le soir même, et

us sommes arrêtés à Padoue; il était 8 heures du soir et j'étais fatigué. Ne do

r Vicence, accompagner Pagello dans une visite médicale. ?Elle n'en a pas eu la force, ne se sentant pas le courage de passer la nuit dans la même ville qu'Alfred sans aller l'embrasser enc

-ce pas, mon petit frère, mon enfant? Ah! qui te soignera, et qui soignerai-je? Qui aura besoin de moi, et de qui voudrai-je prendre soin désormais? Comment me passerai-je du bien et du mal que lu me faisais? Puisses-tu oublier

e du 30 mars. (Revue de

avait rejoint l'orgueil de sa ma?tresse, pour les faire tous deux souffrir. S'il n'avait pas eu le courage de la quitter, elle n'avait pas eu la résignation de le perdre. Sa fatalité la faisait aussi attachante par un charme irritant d'énigme, que

poète en recevrait si cruelle blessure, et prévoir telles conséquences à un caprice sans réflexion de l'homme gaté des femmes qu'il était.... Il allait lui-même en souffrir, maintenant, dans la stupeur d'une aventure où s'enchevêtraient trop de sentiments, p

d'enfant qu'elle avait si pleinement conquis! Où retrouvera-t-elle ces ineffables abandons de jeunesse et de poésie! Quel autre amant le ferait oublier!... Et l'angoisse déjà redouble sa tendresse... Pendant ce carnaval de 1834, bien triste pour elle, elle écrit son roman de Leone Leoni.-On a voulu y chercher une demi-autobiographie. Nous y retrouvons, en effet, les cruell

à présent? qui est-ce qui aura besoin de mes veilles? à quoi emploierai-je la force que j'ai amassée pour toi, et qui maintenant se tourne contre moi-même! Oh! mon enfant! mon enfant! que j'ai besoin de ta tendresse et de ton pardon! ne parle pas du mien, ne me dis jamais que tu as eu des torts envers moi; qu'en sais-je? Je ne me souviens plus de rien, sinon que nous avons été bien malheureux et que nous nous sommes quittés; mais je sais, je sens que nous nous aimerons toute la vie avec le coeur, avec l'intelligence, que nous tacherons, par une affection sainte, de nous guérir mutuellement du mal que nous avons souffert l'un pour l'autre. Nous sommes nés pour nous conna?tre et pour nous aimer, sois-en s?r. Sans la jeunesse et la faiblesse que tes larmes m'ont causée un matin, nous serions restés frère et soeur. Nous savions que cela nous convenait, nous nous étions prédit les maux qui nous sont arrivés. Eh bien, qu'importe, après tout? nous avons passé par un rude sentier, mais nous sommes arrivés à la hauteu

Ici trois lignes su

ère loyauté, sa tendresse sincère et la charmante fantaisie de son esprit. En voici un fragment qui éclairera

tes nuits d'auberge? Ce serait me vanter d'être une brute, et tu ne me croirais pas. Je t'aime encore d'amour, George. Dans quatre jours, il y aura trois cents lieues entre nous. Pourquoi ne parlerais-je pas franchement? A cette distance-là, il n'y a plus ni violences ni attaques de nerfs. Je t'aime, je te sais auprès d'un homme que tu aimes, et cependant je suis tranquille. Les larmes coulent abondamment sur

les boutiques; un gilet neuf, une belle édition d'u

était là le roseau sur lequel tu voulais t'appuyer! Toi, m'aimer! Mon pauvre George, cela m'a fait frémir. Je t'ai rendu si malheureux! Et quels malheurs plus terribles n'ai-je pas été encore sur le point de te causer! Je le verrai longtemps, mon George, ce vi

evée, se sont reconnues comme deux oiseaux des montagnes; elles ont volé l'une ver

promènes sous le plus beau ciel du monde, appuyée sur un homme dont le coeur est digne de toi. Brave jeune homme! Dis-lui combien je l'aime, et que je ne puis retenir mes larmes en pensant à lui. Eh bien! je ne t'ai donc pas dérobée à la Providence? Je n'ai donc pas dé

portune. Respecte-la cette amitié plus ardente que l'amour. C'est tout ce qu'il y a de bon en moi. Pense à cela

ien rassurée sur le

vérité de ses relations avec Pagello

dans ce moment-ci, et son ancienne ma?tresse (l'Arpalice) qui s'est reprise pour lui d'une passion féroce depuis qu'elle le croit infidèle, le rend véritablement mal

un inoubliable déchirement, ne quitta jamais sa mémoire. Ceux qui ont prétendu, et Paul de Musset lui-même, que le chagrin de cet amour perdu s'était peu à peu effacé de son coeur, négligent certains vers de lu

s: ces vers sont parmi les de

incu, brisé

yageur dans la

br?lant la p

ait dev

pauvre h

pont, dans un

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mémoire i

yeux que je

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es ai-je v

plus que

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douleur, comme

e encore et re

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ebout dans leur

son amie, négociant la cession de son roman d'André à Buloz. Il l'informait du résultat, la dissuadait de son éternel proje

le repos peuvent la guérir. Du reste, à peine dehors du lit, je me suis rejeté à corps perdu dans mon ancienne vie. Comment le dire jamais ce qui s'est passé dans c

sotte, mais moins sotte que moi. Je n'ai pu lui dire un mot et suis allé me coucher à huit heures. Je suis retourné dans tous les salons où mon impolitesse habituelle ne m'a pas ?t

Mme Lardin de Musset. Maigre et les traits altérés, il avait perdu la moitié de ses cheveux; il se les arrachait par poignées. On lui voyait des plaques chauves sur la tête. Il avait les jambes en

s. J'étais une enfant.... Nous n'osions lui parler

e Mme Edmée de Musset au poète (du 13 février 1834), toute

songé à partir pour l'Italie; il m'en fit la confidence. Mais notre mère voulait savoir ce que George Sand avait écrit à Buloz. N'y tenant plus, elle courut chez l

George Sand de donner de ses nouvelles à sa mère. Il affirma toujours qu'elle l'avait fait. Aucune de ces lettres, p

ec l'argent d? pour le port, les lettres adressées à Mme de Musset, les jetait dans la lagu

ine relevé d'une fièvre cérébrale, parlait de se tra?ner, comme il pourrait, jusqu'à la maison.

rps malade, une ame abattue, un coeur

s qui n'avaient point quitté son chevet jusqu'au jou

potion calmante, que lui avait administrée à propos un jeune médecin de Venise, et dont il voulait conserver l'ordonnance. ?C'est un puissant narcotique, ajoutait-il; elle est am

PAUL DE MUSSET, B

Peu à peu il se rétablit. Le perruquier Antonio, son domestique improvisé, fut pris de nostalgie et regagna ses lagunes, avec une pacotille de p

able amour. Dans la même lettre, il lui dit avoir été chez elle, quai Malaquais, et n'avoir pu y rester, de tristesse.

s cela. Dis-moi simplement que tu aimes et que tu es aimée. Alors, je me sens plein de courage, et je demande au ciel que chacune de mes souffrances se change en joie pour toi. Alors, je me sens seul, seul pour toujou

en moi ni fureur ni colère. Ce n'est pas ma ma?tresse qui me manque. C'est mon camarade George. Je n'ai pas besoin d'une femme. J'ai beso

ancans répandus contre eux dans Paris,

tu te retrouveras quelque part seule et triste, comme à ce Lido, étends la main avant de mourir et souviens-toi qu'il y a dans un

?. Sa réponse, du 29 avril, ne trahit pas l'angoisse éperdue de la précédente:

, pas encore de vin, pas encore de filles! C'est trop t?t. Songe à ton corps qui a moins de force que ton ame et que j'ai vu mourant dans mes bras. Ne t'adonne au plaisir que quand la nature viendra te le demander impérieusement, mais ne le cherche pas comme un remède à l'ennui et au chagrin. C'est le pire de tous. Ménage cette vie que je t'ai conservée, peut-être, par mes veilles et mes soins. Ne m'appartient-elle pas un peu à cause de cela? Laisse-moi le croire, laisse-moi être

l'aggraver d'une jalousie qu'il ne s'avoue pas à lui-même. Il aime maintenant sa douleur avec tout son être, tout son génie. Et gagnée elle-mêm

on amitié; il lui écrit (30 avril) quelle consolation il y

é! Sois fière, mon grand et brave George: tu as fait un homme d'un enfant. Sois heureuse, sois aimée, sois bénie, repose-toi. Pardonne-moi; qu'étais-je donc sans toi, mon amour? Rappelle-toi nos conversa

J'ai tout nié, tout blasphémé, je doute de tout hors de toi,... Négli

uand tous mes soup?ons seraient vrais, en quoi me trompais-tu? Me disais-tu que tu m'aimais? N'étais-je pas averti? Avais-je aucun droit? O mon enfant chérie, lorsque tu m'aimais, m'as-tu jamais trompé? Quel reproche ai-je jamais eu à le faire pendant sept mois que je t'ai vue, jour par jour

nt.... S'il a d'autres ma?tresses, elles ne pourront être que jeunes: ?Je ne pourrais avoir aucune conf

onne?, ayant volé sur la toilette de son amie un petit peigne à moitié cassé qu'il tra?ne partout dans sa poche.... Elle lui a parlé de Pagello: il lui sait gré de cette preuve d'estime. Maintenant, il veut écrire leur r

timent-là? Je l'aime, ce gar?on, presque autant que toi. Arrange cela comme tu voudras. Il est cause que j'ai perdu toute la richesse de ma

e lettre navrante. Il a si peur de la perdre to

ui répond (12 mai) que ses lettres ?ne sont pas le dernier serrement de ma

Pagello qui n'a pas lu Lélia et qui n'y comprendrait goutte? n'a pas ses yeux à Lui, ses yeux pénétrants, pour s'inquiéter d'elle, quand el

Elle laisse couler son bavardage maternel: elle charge l'absent de maintes emplettes à lui expédier; elle lui r

enue cette lettre de raison, sentait se creuser

e toi à qui je puisse parler de toi. Pas un ami, pas un être! Et qui, d'ailleurs, eu serait digne! Au milieu de mes chagrins, je sens bien que j'ai un trésor dans le coeur: je ne puis l'ouvrir à personne. Songes-tu à ce qui s'amasse pendant tant de nuits dans cette petite chambre, tant de jours solitaires? Et dès que je veux t'écrire, tout se presse jusqu'à m'étouffer. Mais je souffre, amie, et qu'importe de quoi je souffre? Tu me plaindras, tu ne te dégo?teras pas de moi. Figure-toi que c'est une autre que j'aime et que c'est une maladie que j'ai. Dieu

pour l'attendre à son retour de Venise.... ?Si tu es seule, je reviendrai passer quelques mois avec toi. Si tu e

accepterai-je? Où me mène donc cette main invisible qui ne veut pas que je m'arrête? Il faut que je parle. Oui, il faut que je cesse de pleurer tout seul et de me manger le coeur, pour nourrir mon coeur. Il me faut un corps dans ces bras vides; il faut que j'aie une ma?tresse, puisque je ne puis me faire moine. Tu me parles de santé, de ménagements, de confiance en l'avenir: tu me dis d'être tranquille, et c'est toi, toi qui viens de m'ouvrir les veines; tu me dis d'arrêter mon sang! Qu'ai-j

ouler sous mes pieds, plus je sens une force cachée q

is en train de chanter des chansons de cabaret; un cigare et un canapé, tout était dit; et si je pleurais une heure dans ma chambre, en rentrant, j'attribuais cela à l'excitation, à l'ennui, que sais-je? Et je m'

uvé dans ton coeur. C'est à moi, c'est de moi, que tu parles ainsi? Et j'en suis là! Et la femme qui a écrit ces pages-là, je l'ai tenue sur mon sein! Elle y a glissé comme une ombre céleste, et je me suis réveillé à son dernier baiser. Elle est ma soeur et mo

ée, mais je n'ai pas peur de ma vie à venir. Si en m'ouvrant le coeur, le ciel n'a voulu que me préparer un nouveau moyen de souf

ur) La 2e Lettr

t tant moqué jadis. Il est ravagé par sa douleur. Il s'occupe pourtant touj

pas; je l'aime sincèrement et de tout mon coeur, mais je ne pe

son besoin farouche de séquestration. Il subissait maintenant son chagrin. La musique le ber?ait dans une amère volupté. Certain concerto de Hummel que lui jouait sa jeune soeur et qui lui rappelait de douces soirées de Venise, l'arrachait par un ench

our) Biographi

nsées tombaient comme des feuilles sèches, tandis que je ne sais quel sentiment inconnu horriblement triste et tendre s'élevait dans mon ame. Dès que je vis que je ne pouvais lutter, je m'abandonnai a la douleur en désespéré. Je

vre qui me tomba sous la main, je m'aper?us que tout avait changé. Rien du passé n'existait plus, ou, du moins, rien ne se ressemblait. Un vieux tableau, une tragédie que je savais par coeur, une roman

ils de ma passion. Cette histoire-là, si je l'écrivais, en vaudrait pourtant bien une autre, mais à quoi bon? Ma ma?tresse était brune; e

ltation ridicule. J'écrivis des lettres à la fa?on de Rousseau,-je ne veux pas vous disséquer cela.-Mon esprit mobile et curieux tremble incessamment comme la boussole, mais qu'importé si

me Dorval et surtout Planche auraient tenus sur son compte. Si ce dernier, dont la figure dépla?t à Musset, a réellement parlé bassement de

oin d'employer ce trop d'énergie et de sensibilité qui sont en moi. J'ai besoin de nourrir cette maternelle sollicitude qui est habituée à veiller sur un être souffrant et fatigué. Oh! pourquoi ne pouvais-je vivre entre vous deux et vous rendre heureux sans appartenir ni à l'un ni à l'autre! J'aurais bien vécu dix ans ainsi. Il est bien vrai que j'avais besoin d'un frère; pourquoi n'ai

jalouse, elle te dira: ?Ne me parlez jamais de madame Sand, c'est une femme infame.? Ah! du moins, moi je peux parler de toi à toute heure sans jamais voir un front rembruni, sans jamais entendre une parole amère. Ton souvenir est une relique sacrée, ton nom est une parole solennelle que je prononce le soir dans le silence des lagunes et auquel r

. Sa santé n'a jamais été meilleure; il lui semble n'avoir plus de sens; il croit proche l'enthousiasme; il va aimer!... Mais les avances que lui font quelques femmes ne l'attirent guère. Il aime plus que jamais son Georgeot, ?de cett

e ou me sauver! Prie pour moi, mon enfant; quoi qu'il doive m'arriver, plains-moi. Je t'ai connue un an trop t?t. J'ai cru longtemps à mon bonheur, à une espèce d'étoile qui me suivait. Il en est tombé une étincelle de la foudre sur ma tête,

es rayons se pressent, se condensent, jusqu'à ce qu'ils aient trouvé une issue pour s'élancer de leur antre, et retourner, teints du sang de mes veines, dans la nature! Je vais au boulevard, au Bois, à l'Opéra, sur le quai, aux Champs-Elysées. Cela es

'avais pas connue et perdue, George, je n'aurais jamais compris ce que je devais être, et pourquoi ma mère a eu un fils. Quand nous étions ensemble, je laissais ma stupide jeunesse tomber lentement en poussière; mais je ne me rendais compte de rien de ce qui se passait en moi. Je me disais que cela valait toujours mieux que le passé. Je remettais au lendemain; je croyais qu'il serait toujours temps; je réfl

s bizarres! à m'?ter une partie avec l'un, une autre avec l'autre! Je n'

rasse et qu'il a tort de ne pas m'écrire. Cela

fils au collège: ?il a une paire d'yeux noirs que je ne verrai pas sans douleur, je l'avoue?, il écrit maintenant (10 juin) à

à son malade de l'h?tel Danieli,-?qu'une affection liera toujours à lui d'une manière sublime pour eux deux, incompréhensible pour les autres?,-d'éviter l'intempérance et de se souvenir de certaine eau de gomme arab

ouffrir de la gène. Il songe aussi à ses angoisses de mère; Boucoiran l'avait laissée sans nouvelles de ses enfants. Il s'inquiète surtout des tristesses profondes qu'il

er pour toi une dette, que je ferais de si bon coeur et que je paierais ensuite par mon travail. Je ne suis qu'une pauvre paille dans le fleuve

du mal qu'il me fait avec ses questions. Mais il n'en est pas moins vrai que tu souffres; je sais bien que toute ta vie tu as pensé à la mort, que toute ta vie t'y a poussée, que cette idée t'est familière, presque chère; mais enfin elle ne se représente à toi avec force que lorsque tu souffres, et je ne puis croire qu'elle naisse d'elle-même dans une organisation aussi belle, aussi complète que la tienne, comme dans celle d'un Anglais pulmonique! Je te parle franchement, mon enfant; mais ne suis-je pas un ami? Ne m'as-tu pas permis de l'être?.... O mon enfant, la plus aimée, la seule aimée des femmes, je te le jure sur mon père; si le sacrifice de ma vie pouvait te donner une seule année de bonheur, je sauterais dans un précipice, avec une joie éternelle dans l'ame. Mais sais-tu ce que c'est que d'être là, dans cette chambre, seul, sans un ami, sans un chien, sans un sou, sans une espérance, inondé de larmes depuis trois mois, et pour bien des années; d'avoir tout perdu, jusqu'à ses rêves; de me repa?tre d'un ennui sans fin, d'être plus vide que la nuit; sais-tu ce que c'est que d'avoir pour t

e dans la Revue des Deux

soupir de joie au milieu de tous ces affreux sanglots, que personne ne voit, si Dieu n'existe pas, ou ne les entend pas surtout. Pardonne-moi de te parler avec cette franchise; pardonne-moi de ne pouvoir imposer silence à mon coeur. Je suis muet

. Son Pagello est un ange; ses tracas matériels se sont dissipés. Dans un mois elle reverra ses enfants... Elle ajoute comme glose à cet exposé de sa tranquillité: ?Tu as donc bien raison de dire que mon bonheur a pris sa source dans tes larmes, no

e contenait une confidence?. On en a gardé du moins quelques lignes relatives au retour att

le bête m'adressait l'autre jour. La chère créature ne me l'a pas répétée moins de trois fois pour voir si je vari

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