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Horace

Chapter 7 No.7

Word Count: 2782    |    Released on: 30/11/2017

ien en général sa familiarité. Eh bien! vous ne verrez plus madame Poisson.

ui n'était guère plus gros qu'une mouche, elle n'aurait pas été battue deux foi

élevant sa voix enrouée pour que tout le monde l'entend?t. A moi, Arsèn

debout près de lui, le regardant attentiv

lui et tout en dégustant son petit verre: tu ne verras plus ta bourgeois

sène de sa voix claire et ferme

ds-tu bien? Cela veut dire qu'elle est où bo

ant si haut d'une pareille affaire? dis-je en jetant les yeux vers la porte

ncontrer à l'entrée de la Préfecture de police, où il va sans doute demander des inform

prendra qu'on ne prend pas les mouches a

capable d'un pareil coup de tête, pourtant! Elle avait l'air usé

l venait toujours se planter derrière Laravi

der? lui dit Laravinière, q

un second petit verre, rép

rue Montorgueil, l'année passée, à pareille époque! J'avais une si abominable soif! Mais ce gamin-là ne songeait qu'à descendre des gendarmes. Brave com

e Poisson a passé la nuit, pui

s'écria Horace l

sse diablement, à ce qu'il parait! Eh bien! vous ne le saurez pas, so

vous voulez nous donner à entendre que c'es

e mauvaises plaisanteries, s'il vous pla?t. Madame Poisson est une femme f

uver? dit Louvet en voyant avec quel intérêt nou

ucun tort à la dame. Ah! tu écoutes, toi? ajouta-t-il en voyant Arsène toujo

e en s'asseyant sur une table vide et en ouvrant un journal.

let! dit Laravinière. Ce que j'a

r. Il n'y avait dans le café que Laravinière, ses

si comme il faut, cela avait la marche si peu aga?ante que nous connaissons, que j'ai hésité par trois fois... Enfin, persuadé que ce ne pouvait être autre chose qu'un phalène, je m'avance sur la même ligne; mais je ne sais quoi de mystérieux et d'indéfinissable (style choisi, mes enfants!) m'aurait empêché d'être grossier, quand même la galanter

ait sur le qua

re?-Ah! mon Dieu! c'est vous, madame Poisson? (Et voilà, un coup de théatre!)-Je suis bien aise de vous rencontrer, dit-elle d'un ton résolu. Vous êtes un honnête homme, vous allez me conduire. Je remets mon sort entre vos mains, je me lie à vous. Je demande le secret.-Me

tourne un peu, mais c'est égal. J'offre mon bras comme un marq

da Horace

oustrais à de mauvais traitements, et voilà tout. J'ai un asile, chez une amie, chez une femme honnête et bonne; je vais vivre de mon travail. Ne venez pas me voir; il faut que je me tienne dans une grande réserve après une pareille fuite; mais gardez-moi un souvenir amical, et croyez que je n'oublierai jamais... Nouvelle poignée d

qu'elle n'a pas d'amant, qu'ell

arée de moi. Me voilà forcé de tenir ce que j'ai promis, puisqu'on m'a s

ant l'agitation d'Horace, je commen?ai à penser que le sien prenait un caractère sérieux. Nous nous séparames à la rue G?t-le-Coeur. J

it personne chez moi, à la lenteur qu'Eugénie mit à me recevoir. Ce ne fut qu'au troisième coup de s

bien peur? lui d

mes raisons pour cela. Mais puisq

aucoup. ?Qu'est-il don

iant, et j'espère que vous ne me désavouerez pas;

suis pas couché la nuit dernière! Mais pourqu

a main sur ma bouche. Votre chambre est habitée par que

Tout ce que vous faites est b

mander à votre ami Horace ou à quelque autre (vous n'en manqu

au moins pour qui

venue me demander un refuge da

chement dans ma chambre! Au diable l

donc plus bas, il n'y a point là d'affaire d'amour proprement dite

enlevée pour qui vous prenez ta

me moi, et elle a bien droit à

me direz pas

ous verrons demain ce

me?... dis-je avec

répondit Eugénie e

ier d'un air affectueux et enjoué, puis elle rentra, et je l'entendis fermer la porte à double tour, ainsi qu'une

endre le dernier étage. Je remontai vingt fois jusqu'à ma porte; je redescendis autant de fois l'escalier. Le plus profond silence régnait dans ma mansarde et dans toute la maison. Plus je combattais ma folie, plus elle s'emparait de mon cerveau. Une sueur froide coulait de mon front. Je pensai plusieurs fois à enfoncer la porte: malgré la serrure et la barre de fer, je crois que j'en aurais eu la force

autre. Une fois que j'aurais franchi la porte principale, soit que le portier fut prévenu, soit qu'il allat se coucher, j'étais sur de ne pas pouvoir rentrer passé minuit. Les portiers sont fort inhumains envers les étudiants, et le mien était des plus intrait

ambre qui donnat sur notre palier n'était pas louée. Je ne courais pas ris

ais brisé, je fumai pour me ranimer, et quand, vers six heures, j'entendis ouvrir la porte de la maison, je sonna

sommeil meilleur que le mien. Vous me paraissez changé! Pauvre T

ndis-je, un lit très dur. Et v

étonnement si candide que j

à dire qui e?t le sens commun, je posai ma canne un peu brusquement sur la table, et je jetai mon chapeau avec hum

dont elle referma la porte sur elle avec soin. C'était là qu'était le personnage mystérieux. Je n'osais plus, je ne voulais plus douter, et, malgré moi, je doutais encore. Les pensées injustes, quand nous leur laissons prendre le dessus, s'emparent tellement de nous, qu'elles domine

dans le désordre du sommeil et le corps enveloppé d'un grand chale, s'avan?a

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