La guerre et la paix, Tome III
u'ils avaient eue à soutenir contre lui, sans se départir cependant d'un certain respect à son égard. Ils se demandaient avec curiosité s'ils n'avaient pas fa
avec lui étaient des gens de condition inférieure. Ayant reconnu en Pierre un ?monsieur?, et l'entendant parler fran?ais, ils ne lui épargnèrent pas les plaisanteries. Tous, lui aussi, devaient être jugés comme incendiaires, et le troisième jour on l
-il été? Dans quelle in
à-dire à s'accuser lui-même. Pierre, comme tous ceux qui se trouvent dans le même cas, se demandait avec étonnement pourquoi on lui adressait ces questions; car elles n'étaient, après tout, qu'un semblant de bienveillance et de politesse. Il se savait en leur pouvoir, au po
t-il colleté ave
femme attaquée par ce dernier et que le
, cette digressi
ouvé dans la cour de la
rti pour voir ce qui
ù il allait, mais pourquoi il se trouvait à l'incendie
t le général; ce n'est pas b
mmena les
e.... Les flammes gagnaient toujours du terrain. Sans comprendre encore l'importance de l'incendie de Moscou, il regardait ce spectacle avec terreur. Durant les quatre jours qu'il resta dans sa nouvelle prison, il y apprit, par des soldats fran?
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