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La tombe de fer

Chapter 7 No.7

Word Count: 1250    |    Released on: 30/11/2017

eurs yeux. Ma mère m'embrassa avec transport sur les deux joues; mon père me posa

ner une bonne éducation, et prendre soin de moi jusqu'au moment où je pourrais faire mon chemin dans le monde comme un h

nnaissant envers mes généreux protecteurs; de me rappeler qu'ils étaient nos bienfaiteurs, et que je n'étais qu'un pauvre enfant de paysans; de payer leur tendre sollicitude par une application constante; de n'être jamais orgueille

fondément, et ce fut par de douces caresses et par des baisers

le du village pour recevoir les premi

égard, et lui avait promis, en sus de la rétribution ordinaire, une bonne récompense, si, par s

trouver une occasion de montrer son savoir et sa bonne volonté. Aussi, dès ce mom

ite nous allions au chateau jouer un nouveau jeu, où Rose trouvait plus de plaisir qu'à tous les autres: je devais m'asseoir à une table, et répéter dans un livre ma le?on de la journée. La bonne petite fille était ma ma?tresse d'école. Elle me louait

ne promptitude d'esprit naturelle, je fis en peu de temps des progrès ét

tait toutes sortes de beaux livres avec des images, et nous nous en amusions si bien que, plu

s le monde. Pendant que nous jouions dans le jardin, ma petite protectrice feignait quelquefois, de ne pas comprendre le flamand. Il y avait de la prévoyance et de la générosité dans ce jeu enfantin; car il me fit ap

doit se comporter en bonne compagnie, et ce que permet ou défend la bienséance. En un mot, tout ce qu'elle savait ou croyait savoir, elle me l'inculquait avec une douce persistance. Entre ses mains, le pauvre fils d

appelait ma petite mère. Il arrivait souvent, lorsque nous étions occupés de nos livres, le soir, dans le ch

us le dira; votre pet

le était si heureuse de porter le nom de mère et d'avoir un enfant qui lui ser

j'avais été un crieur furieux, maintenant j'étais devenu plus calme, et mon humeur était fort tranquille. Probablement mes études assidues avaient contribué beaucoup à donner cette gravité précoce à mon esp

e que sont tes bienfaiteurs. Reste sage,

le. Avant son départ, elle me renouvela vingt fois ses recommandations, pour que je n'oubliasse point d'apprendre et d'étudier avec ap

r, et que je la regardai avec des yeux pleins de larmes, el

soit contente de toi à son retour. L'hiver ne dure pas longtemp

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