La tombe de fer
il s'attribuait seul le mérite. En effet, il ne pouvait savo
e de son savoir et de son activité; et il s'ensuivit qu'il s'occupa de m
arents je tins moi-même une classe dans notre maison, et que
leur première verdure. Chaque jour, avant et après la classe, j'all
flétris. Les cerises commen?aient à rougir, et le chateau, avec ses persien
j'apprenais la le?on qu'on m'avait donnée, M. Pavelyn parut tout à coup au milieu de la classe. Je poussai un cri; et, tout trem
car il me fallut montrer immédiatement tous mes cahiers. On me fit lire en fran?ais et en flamand; on me fit faire une multiplication difficile; on me fit
satisfaisante, le père de Rose me tapa familièrement
tu t'es montré reconnaissant des soins de ton ma?tre. Continue ainsi.... Mais pourquoi me regardes-
aissa livré à une incertitude pénible. Rose était-elle au chateau, oui ou non
stants, M. Pavelyn ren
, suis-moi: tu as
ose pour Marseille, dans le pays où croissent les oliviers, pour s'y guérir de sa maladie de poitrine. A Marseille, madame Pavelyn avait un frère qui y avait fondé une maison de commerce. Rose
t beaucoup de choses aimables, m'encouragea à étudier avec ardeur, pour être à même de commencer bient?t mon apprentissage de sculpteur; et il me fit entrevoir le bel avenir qui pouvait être la récompense de mon zèle. Puis il me donna à entendre qu'il viendrait rarement au chateau, et seulement pour quelques heures. Cependant il me permit d'all
illantes, il posa sa mai
jours sage et studieux: je resterai ton ami, et j
t un chemin qui mena
e, tout ce que M. Pavelyn m'avait dit. Ils essayèrent de me consoler en m'objectant que quelques mois seraient vite passés, et qu'alors je reverrais certainement Rose.
tra plein de bienveillance pour moi, et me fit même d?ner deux fois avec lui; mais si bien qu'il m