Nouvelles lettres d'un voyageur
LANGUE
EN CHEF DE l'écl
sie
tiennent que, si le norvégien est rude et guttural, et le toscan musical et doux, cela provient de, ce que, en N
plication me pla?t parce qu'elle est beaucoup moins savante et beaucoup moins embrouillée. Ne voit-on pas, d'ailleurs, le miracle se continuer de nos jours? Plus les sociétés
Grecs, au dire des connaisseurs, avait comme elle différents dialectes. Les deux principaux é
x en venir, monsieur le rédacteur. Un peu de
d'oil? Les uns disent que c'était la Loire qui formait la ligne de démarcation. Cela est vrai à partir de sa source jusqu'aux montagnes de l'Auvergne. De là
trouvères c'est le pays de Rabelais, de Paul-Louis Courier et de Blaise Bonnin; à partir, au contraire, de la même province jusqu'aux rives de la Durance, dialecte proven?al et troubadours, troubadours purs; nos braves voisins de la Marche peuvent s
t sur les troubadours et les trouvères. Mais il nous importe, à nous qui habitons l
nt excité une admiration que le faible mérite de leurs compositions ne peut suffisamment justifier. Il ajoute que les trouvères, ?moins connus et plus dignes de l'être
ent chacun dans leur langue; mais qu'un habitant du pays des trouvères s'avise de composer en dialecte proven?al, ou qu'un troubadour
utte avec notre ami Blaise Bonnin, et s'évertuer à parler notre patois be
nait aux écoliers de son temps, et dont
le malencontreux orateur, il