Henriette

trophe était

u, de soleil et de robes claires, Armand, qui devait d?ner chez un de ses camarades

t monde qui passait par couples, avec un air de fête. Quel Parisien, dans les heures troublées de la prime jeunesse,

mur de l'h?pital La?nnec. A cette heure-là, le dimanche, en été, cette large rue du faubourg clérical est à peu près déserte. Les boutiques d'objets de piété sont closes. Les dévotes et les bandes d'orphelines sont déjà revenues des vêpres. Quelques rares p

anges, l'entrée et la sortie des visiteurs, entretiennent un peu d'animation. Ce fut au mil

sa main bien gantée, elle tenait sur son épaule son ombrelle ouverte. Elle était charmante ainsi, la Parisienne, et c'était la jeunesse même. En reconnaissant Armand, elle devint toute rose, et sa b

niais! Mais elle lui adressa un si gracieux: ?Bonjour, monsieur?, qu'il s'arrêta, et, voulant engager la co

n égal embarras, parlant

ce ne serait rien. La bonne femme allait déjà mieux et devait être envoyée bient?t à l'asile des convalescents. Henriet

us deux un événement extraordinaire. Parler ainsi, en pleine rue, à cette jeune fille, qu'après tout il connaissait à peine, était pour Armand l'action la plus téméra

rcher c?te à c?te. Armand, la bouche sèche, un battement de s

le... à présent... vo

e mon petit d?ner... Allez! ce ne sera pas long... Et puis on se couchera de b

tre plus là. Un projet, d'une audace énorme de sa part, lui traversa

soirée toute seule. Eh bien, puisque vous êtes libre... si vous vouliez me faire un grand p

surprise et de joie. Elle croyait

mité s'établissait entre eux par ce prénom d'Armand qu'elle pronon?ait

refuser, et cette cra

attendu chez un ami. Mais qu'importe! Je m'excuserai. J'enverrai

outa, perd

udrais tant vous conna?tre mie

lui offr

ait défaillir, et ravie, livran

oi qui ne fais q

eux, sans savoir où. Ils avaient atteint le boulevard Montparnasse, où circulaient de nombreux promeneurs, et les bonnes gens se retournaient avec un sourire pour suivre ce joli couple si bien appareill

rmand. Vous aviez depuis longte

vous traversiez le petit salon... Quand je voyais seulement le bouton de la port

... Et je ne me s

te petite malice dans le regard, j'avais bien

on hasard que je vous aie rencontrée!... Pour un rien, j'allais passer sans vous dire un mot. Je suis si peu hardi! Mais j'ai vu tout de suite dans vos yeux qu'il fallait vous parler, que cela vous fe

e e?t prise pour de l'effronterie, mais qui semblait adorab

yez bien...