Love Unbreakable
Comeback Of The Adored Heiress
Moonlit Desires: The CEO's Daring Proposal
The Unwanted Wife's Unexpected Comeback
Bound By Love: Marrying My Disabled Husband
Who Dares Claim The Heart Of My Wonderful Queen?
Return, My Love: Wooing the Neglected Ex-Wife
Best Friend Divorced Me When I Carried His Baby
Secrets Of The Neglected Wife: When Her True Colors Shine
After Divorce: Loved By The Secret Billionaire CEO
The devil has red wings because it is the color of love, proof that love is destructive
Le soleil commençait à se coucher, et les habitants s'agitaient dehors. Le marché se déroulait la nuit à cause de la chaleur insupportable pendant la journée. Mais en automne c'était différent, le froid refaisait surface avec pour seule compagnie d'énormes nuages gris. La plupart des hommes marchandaient, se vendant tissus, toile, charbon et autre tandis que les femmes s'occupaient des enfants ou des travaux subtils. Elles étaient regroupés pour parler de la nouvelle... Les gens travaillaient un peu plus ces derniers temps pour pouvoir permettre à leurs enfants, aînés ou cadets de s'élever dans les rangs. Oui, car tout était fin prêt pour le grand bal qui se déroulerait demain. Ils ne restaient que les invités. Tous étaient excités à l'idée de rencontrer le grand Duc de Castel, l'un des hommes les plus puissants du pays, surnommé le corbeau. Nuls ne savaient ce qu'un tel homme recherchait dans une telle cambrousse. Mais c'était une réel chance...
Les servantes s'activaient à finir les robes, toutes devaient être parfaites. Les hommes aussi se pomponnaient, voulant faire bonne figure devant le grand Duc. Ils et elles voulaient devenir quelqu'un d'important, des plus pauvres habitants aux plus riches.
Mais elle, elle refusait de se mariée. Par folie ou idiotie, qui pouvait savoir ?
l Elle était l'unique fille d'une fratrie d'homme. Son plus jeune frère avait atteint les vingt-deux années il y a quelques mois et allait se marier. Le cadet était âgé de vingt-cinq ans et avait eu son premier fils il y a déjà un an. Puis l'aîné venait d'avoir vingt-huit ans et avait déjà composé sa famille d'une paire de jumelles et d'une fils de trois ans.
Pour faire simple, il ne restait plus qu'elle. Sa mère se battait chaque jour, et pour l'occasion de ce bal elle lui avait fait fabriquer une de ses plus grandes œuvres. Une robe d'un rouge sanguinaire, longue et majestueuse. Ses manches transparentes remontait jusqu'au épaules et tombait dans une fente dorsale. Une magnifique robe rouge qu'elle comptait accorder à ses lèvres. Déterminé à la caser avec un noble. Mais en attendant, elle préférait simuler un mal de tête pendant que sa mère prenait le thé. S'échapper de sa surveillance n'était pas un jeu d'enfant, mais le repos avant une tel soirée était primordial.
Dans sa chambre, vêtue d'un pantalon devenu trop petit pour son frère, la fille Donogan sortit en cachette. Elle prit le cheval de l'un de ses frères et partit en direction d'une petite clairière située au nord de la ville. Lorsqu'il faisait chaud, le lac avait une température parfaite. L'eau coule de la rivière et les arbres cachent le soleil. Tout est paisible et calme. Parfait.
Elle descendit de sa monture, son père n'avait pas hésité à lui apprendre malgré le refus persistant de leur mère. Elle attacha le cheval à l'arbre près d'elle, pour le garder a l'œil. Sa mère voulait tant la marier, mais chacun préférait sa liberté non ? Dépendre d'un homme s'était étouffant et insultant. Était elle un objet ? Pour être passer d'un homme à l'autre ? Si elle pouvait rester seule, elle le ferait. Mais cela déshonorerait sa famille. Un comble n'est ce pas ? Secouant la tête pour chasser les pensées de son esprit, elle alla se baigner. Elle détacha sa tunique après avoir bien vérifié que personne ne se promenait. Les habits tombèrent dans une caresse froide. Le soleil réchauffa quelques peu sa peau malgré le vent d'automne qui menaçait sa santé. elle plongea dans l'eau glacée, nue. Sa poitrine frissonna au contact de l'eau, son corps se remplit de chair de poule le temps qu'elle s'habitue.
-Mère me tuerait... Mais elle avait cette petite lueur dans son regard gris, cette affiche au dessus de sa tête. Ce qui l'a distinguait des ses contemporains. C'était différent des autres. Un jour, son frère l'avait comparée à une lumière. Il disait: la lumière attire les moustiques, et quand nous la regardons, nous avons mal aux yeux. Pourtant, on ne peut s'empêcher d'en avoir besoin. Besoin d'elle pour quoi ? Sa mère lui avait déjà présenté une dizaine de prétendants, tous plus riches les uns que les autres. Eux aussi avait besoin d'elle ? Était elle la proie d'une dizaine de moustique ? Sa mère lui avait dit que l'amour venait à l'usure. Après le mariage, lorsqu'on apprenais à se connaître et qu'on finissait par s'accepter. Mais comment?
Ces simples explications pouvait elle réellement lui apprendre a aimé un inconnu ? Vivre avec un inconnu ? Partager le lit d'un inconnu ? Elle rougit à cette pensée.
Une grande différence les opposaient, sa mère semblait vivre d'illusion ! Ou peut être était-ce elle ?
Alors que l'eau montait jusqu'à son cou, elle plongea la tête. Savourant la caresse fraîche. Ses cheveux se collèrent à son visage, caressant sa nuque jusqu'à son menton. Une couronne de fils brun se formait, flottant doucement sur l'eau. Ses longs cils projetaient leurs ombres sur ses pommettes. Ses cheveux bruns étais désormais trempés. Elle avait retire sa tête de l'eau. Elle dégagea son front et commença à nager calmement. Soudain un bruit la fit sursauter, un craquement ou un murmure. Serait ce un animal ? Ses mouvements s'arrêtaient. Elle ne fit plus un geste. Une voie s'éleva.
Il y avait quelqu'un ! S'affola t'elle. Ce retournant de chaque côté, elle ne voyait rien d'anormal. Fronçant un peu plus les sourcils, elle cria le nom de son cheval.
-lightning ! Le grand étalon noir arriva, elle souffla soulager. Elle entama de ce relever pour rejoindre la rive lorsque son regard ce stoppa sur une ombre à quelques pas. Il avait sa main posé sur le dos de l’animal.
-Mon dieu ! Qui êtes vous ? Cria elle en revenant dans l'eau. L'homme sortis enfin de son coin, et elle le détailla sans plus attendre. Au fond d'elle, elle paniquait. Mais si il fallait faire un portrait pour donner une idée de son agresseur ça pourrait lui être utile.
-Je suis moi aussi enchanter de faire votre connaissance milady. Je m’excuse des conditions de notre rencontre mais il me tardait de vous rencontrer. Il s’inclinait légèrement.
Un homme d'au moins 6 pied avec une silhouette élancée s’était présenter devant elle. Elle fut frapper par la beauté de cette créature. Une belle mâchoire, ses cheveux ainsi que ses sourcil étais très sombre. Mais elle fut d'autant plus frapper par ses yeux violets. De magnifique Améthyste. Elle resta encrée dans son regard. Pendant plusieurs minutes, heures, ou secondes elle ne savait pas. Lorsque les yeux du jeune homme descendis sur son corps, elle sortis de sa transe. Accrochant ses mains à sa poitrine.
-La vue vous plait ? Sarcastique, elle était pourtant effrayée. Comment osait t'il !? Pensa t'elle.
-Je m’excuse de préféré vous voir en dehors de l'eau. Son sourire séducteur n’aida pas la jeune femme a s’empecher de le frapper. Elle du tout de meme résister, elle était nue et ça elle ne devait pas l’oublier. Maid déformer ce petit minois…
-Je vous prierai d'aller manger de l'herbe ailleurs.
-Quoi ? Vous insinuez que je suis une vache ? Se moqua t'il. Toujours bien enfoncer dans l'eau, elle s'écartait tout de même de la rive en le voyant ce dévêtir.
-Non, un porc. Qu...que..faites vous ? Il ne lava pas la tête. Nom de dieu ! Elle paniquait réellement. Il se releva quelques seconde de sorte à plonger son regard dans ses yeux gris métallisé.
-Je vous rejoins, cela ne ce voit t'il pas ? Elle faillit suffoquer, il voulait la rejoindre dans la rive. Mais elle étais nue !
-Non ! Partez souffla t'elle désespérément. Elle espérait qu'il partirai, mais sa mère lui a toujours dit que les hommes sont têtu. Moi aussi je suis têtue ! Pensa t'elle. Il étais seulement vêtu d'une culotte d'homme. Il entra alors dans l'eau. Et elle ne pus ce résoudre à regarder autre part que son torse. Il étais plutôt bronzer, ce qui le rendait alléchant. Elle n'avait jamais vue un homme aussi musclé. Mes quel pensées mon dieu ! Elle recula encore plus jusqu'à ne presque plus avoir pied. Lui s'approchait rapidement, ne lui laissant aucun autre choix que de reculer. Les seul bruit autour d'eux étais les oiseaux, les clapotements de l’eau et leur respiration. Alors qu'il était à seulement quelques centimètre d'elle, elle fit un bon et se retrouvait dans la zone plus profonde. Elle ferma les yeux en se débattant. Deux grandes mains la saisirent, sa tête sortis rapidement de l'eau. Elle ouvrit immédiatement les yeux. Elle étais désormais accrocher à l'inconnu. Il la retenait pas les épaules, un regard aux pupilles violettes qui reflétait son amusement. Elle respirait difficilement, son cœur battait à mille à l'heure. L'homme lui fit relever le menton, et emprisonna ses yeux. De sorte à la calmer. Elle ce détendit presque instantanément.
-Pouvez vous me lâcher ? C’est très humiliant… Elle rougit en ce rendant compte de la position embarrassante dans laquelle ils étaient. Elle était nue bon sang ! Si quelqu’un les voyait elle ne donnait pas cher de sa peau.
Un vent frais parcouru le corps des deux inconnues. Et le froid se fit de nouveau ressentir.
-Quel idée de ce baigner en hiver ? Vous êtes inconsciente. La voie rauque de l'homme, la fit sortir de ses pensée. Il lui tenait toujours les épaules, il devait lever la tête pour ne pas que ses yeux s'aventure outre la limites accordé. Il avait déjà vue le corps d'une femme, plusieurs fois même ! Mais il refusait d'agir sans qu'on soit consentants. Même s’il avait enfreint cette règle il y’a quelques secondes en s’avançantIl la ramena vers la rive. De sorte à ce qu'elle ai pied. Elle le lâcha, sans le remercier. Car après tout c'était sa faute.
-Retourner vous je vous pris. Elle refusait qu'on la voit nue, pas un homme inconnu déjà. Mes formes restent et resteront mes formes ! Alors que le bourreau se retournait, ni une ni deux elle sortit et s'habilla a la vitesse de la lumière. Lorsqu'elle retrouva sa vieille robe bleu, elle fut soulager. Elle grimpa sur sa monture une nouvelle fois, et galopa jusqu'à chez elle. Non sans ajouter un dernier commentaire :
-Au plaisir de ne jamais vous revoir. Avait elle dit avant de s'enfuir. Arrivé chez elle. Elle se précipita dans sa chambre, priant pour ne pas croiser sa mère. Ou pire l'un de ses frères. Seul son père aurait pu un minimum la couvrir. Mais Dieu faisait sourde oreille. Elle souffla en entendant son nom. Et se dirigea vers le salon. -Oui mère ? Une grande femme brune était assise sur l'un des sofa. Ses frères autour d'elle ainsi que son père. Elle salua sa famille d'un geste de la tête.
-Où étais tu ? Son ton stricte la fît tressaillir. -De sortis, mère Elle souffla, sûrement fatiguer du comportement de sa fille.
-Andrew va ce marier dans quelques semaines, tu le savais sa bien sur. Tandis que Robin et Edison eux on déjà une lignée. Hochant la tête à chaque prénom, elle ce demandais en quoi cela la concernais. Demain se passe le bal du Duc de Castel. Et il y choisira sa futur épouse. Si tu n'est pas choisis le prochain prétendant sera ton mari. En seulement quelques mot, sa mère réussis à lui faire perdre toute trace de joie, son visage ce décomposa. Elle devait ce marier certes ! Mais pas si tôt ! Elle ouvris la bouche prête à protester, mais la referma ne trouvant aucun argument. Pourtant il y’en avait tellement !
-Et tu fera l'effort de te vêtir mieux. Elle regarda son père qui lui lança un regard désoler, puis ses frères qui eux ne la regardait même pas. Ils avaient oser les traîtres ! Ils avaient tous peur de leur mère, après tout elle était d’une lignée puissante. Elle sortis de la pièce sans même demander l'autorisation, ses mariages étaient monter à la tête de sa pauvre mère. Claquant la porte de sa chambre, elle ne s'écroula pas sur son lit. Non ! Ce disait elle.
Elle avait parler il y’a quelques temps de cette salle de balle avec une connaissance. Céleste lui avait parlé de légende. C’était intriguant et bien plus intéressant qu’une toilette.
Elle changea sa robe bleu pour une nouvelle à manche longue mais plus légère. Gracieuse et très sophistiquer c'est ce qu'elle devait être. Baliverne ! Elle était furieuse !
Elle sortis en trombe de la maison et ce dirigea vers la fameuse salle de bal. Une ancienne églises brûlée, puis reconstruite. Arrive à celle si, tout étais fermé. Surprenant. Sortant une petite pince de sa chevelure, elle réussi à entrer dans la grande salle, toujours aussi énervée. Mais sa colère redescendit en pic alors qu'elle observait le tableau face à elle. La salle étais illuminée par de grande bougie, un lustre tenait au plafond. Le sol étais tellement bien lavé qu'elle apercevait son reflet, du marbre. Des bouquets étaient disposés sur chaque table ainsi que des bougies qui n’était bizarrement pas éteinte. Elle s'avança hésitante, puis caressa les roses du bout des doigts, leur odeur emplissait l'atmosphère. Elle s'arrêta au centre de la salle. Les doux bruit du crépuscule régnaient. L'emportant dans une danse nocturne. Relevant les bras pour les alignés correctement au dessus de sa tête, elle entendit un corbeau pousser un crie, c'était un signe du chef d'orchestre.
La musique commençait Elle mis un pas devant, gracieux et léger. Elle tourna un coup, puis ce laissa retomber dos contre le sol. Le bois toucha ses omoplates, caressant de sa matière lisse les plis de peau. Sa tête se balança en arrière, elle pris une longue respiration. Les yeux fermés. Elle s’était abaissé, les jambes droites sur leur pointe. Alors que ses pieds maintenait à quelques centimètres du sol elle tendis ses jambes dans au saut, puis les fis retomber. Le vent claqua contre les verres des fenêtres, accélérant le rythme de la mélodie.
Elle se releva, toujours dans sa transe. Elle tourna une fois, puis deux, puis trois. Elle s'arrêta d'un coup, tendant là jambes, elle caressa une rose qui avait atterrie à côté d'elle et la ramena à son nez. Elle sentait tellement bon. Elle virevolta sur le coté balançant ses deux bras dans un mouvement synchronisé. La rose toujours dans sa main. Elle la reposa, dans un coin. Et s'asseyait délicatement devant elle. Sa robe était étalée sur le sol. Et elle laissa tomber son dos contre le bois. Les yeux fermés à écouter la musique dans sa tête. D'un coup brusque elle ce releva, le corbeau cria de nouveau. Elle leva les bras bien haut, la nuit ne tarderai plus. Elle tourna, encore, une fois, puis deux, puis trois. Elle releva ses jupons, et fit deux pas. Avec grâce. Elle remonta des escaliers, toujours cette mélodie dans la tête. Et repris une rose, lorsqu'elle arriva tout en haut. Elle la lança, aucun bruit ne venait la déranger dans sa transe. La fleur atterrie au milieu de la salle, juste à côté de la première. Formant une alliance. La vision de ces roses entremêlés, dont les pétales s’étalaient l’arrêterait. Sa danse venait de se terminer. Le vent passa dans son cou, alors qu'une nouvelle présence ce faisait sentir. Un frissons la parcouru alors qu'elle regarda par la fenêtre. Voyant que la nuit devenais trop sombre, elle entamait de rentrer chez elle. Mais en essayant de récupérer l'une des roses, une de ses nombreuses épines s'accrocha à son doigt, la piquant légèrement.
-Aie ! Une goute de sang tomba au sol. Clôturant officiellement cette danse
Coup sec, là domestique lui resserra le corset d'un rouge sang. Sa mère elle, la regardait un peu plus loin se faire pomponner. La respiration courte du au peu d'air que laissait passer sa robe, celle si essaya plutôt de ce concentrer sur l'une des douce mélodies qui se jouait dans le salon. De fines bretelles recouvrait ses épaules, et un léger décolleté étais mis en valeur grâce à sa peau clair. Sa longue robe couleur sang mettait ses formes a leur avantage sans être trop vulgaire. Sa mère avait l'œil.
Lorsque la tâche fut terminer, ses cheveux brun suivirent. On lui avait fait plusieurs nattes enroulés derrière sa tête, libérant son cou pâle. Puis vins le maquillage, rien sur les lèvres bien sur. Celle ci étais déjà assez rose, et naturellement de plus.
-Je t'accompagnerai. Déclara sa mère. Cette nouvelle n’était pas pour lui plaire. Elle savait que sa mère voulait seulement lui assurer un avenir, un statut et un bonheur. Mais bon sang qu’est ce que c’était lourd. Elle grimaça en voyant les chaussures qu'elle devrait porter durant la soirée, une si longue soirée.
-Si le Duc te remarque, il te remarquera. Ne fait aucun pas de travers, il faut qu'il t'apprécie, c’est bien clair ? La jeune femme hocha la tête. Repliant une fois de plus un plis imaginaire sur sa robe, elle semblait stresser. Mais pas par la soirée, plus car elle appréhendait l'arrivé du fameux Duc de Castel dont tout le monde parlais. Son prochain mari ?
Le carrosse acajous s'arrêtait à la hauteur de la grande salle. Lorsqu'elle y entra c'est sans surprise qu'elle l'a découvrit. Quoique plus illuminé elle était beaucoup plus accueillante.