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C'Etait ainsi...

Chapter 8 No.8

Word Count: 897    |    Released on: 06/12/2017

ment; mais, en effet, ? mesure que le jour du mee

r de dégo?t et de col?re. On y lisait qu'une grande réunion populaire était organisée pour le dimanche suivant, ? trois heures, non pas, comme l'avait prétendu Justin-la-Craque, dans ce sale caboulot du Shako Rapiécé, mais dans la grande salle de La Belle Promenade, un estaminet tout ? fait conven

ers le soir, on n'apercevait plus nulle part le moindre chiffon rouge. Le bruit se répandait que, le dimanche suivant, M. le curé pr?cherait en chaire contre cette réunion impie, et que M. le baron, qui était bourgmestre de la commune, l'interdirait au nom de la loi. La frousse gagnait les bonnes gens, qui n

s'ouvraient des horizons inconnus, le bonheur. A huit heures, pour le casse-cro?te, ils s'assirent tous, hommes et femmes, en rang d'oignons contre le mur de la cour dans le ti?de soleil d'automne, ? écouter tout ce que leur racontait Pierken inlassablement. Les visages étaient sérieux et graves; la vieille Natse, vaincue par l'émotion, pleu

, qu'ils ne tarderaient pas ? l'apprendre et que ce ne serait pas dr?le. Et, en effet, d?s que M. de Beule, toujours précédé de Muche, parut dans la fabrique, on vit bien que ?a clochait. Il avait le visage cramoisi, boursouflé; pour un rien, un tout petit accroc ? l'un des pilons, il se mit soudain ? ?partir? comme un sauvage, en hurlant dans le vacarme

e l'ouvrage pour alle

n froi

e vous ?tes! vociféra

sse alors, Monsieur? répliqua

M. de Beule, esquivan

osse aux huiliers? pour se diriger vers la ?fosse aux femme

était ?parti?, en conclurent les ouvriers. Lorsque Sefietje vint, vers six heures, apporter la traditionnelle goutte du soir, ils remarqu?rent qu'elle avait s?rement d? pleurer. Aux hommes elle ne dit rien

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