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Robert Burns

Chapter 9 LA COMéDIE DE L'AMOUR.

Word Count: 8819    |    Released on: 06/12/2017

prosa?ques et grotesques. Sa faculté d'observation, qui n'était gênée par aucune pensée d'harmonie littéraire dans son ?uvre, s'est exercée là

ères de jeunes gars qui viennent le soir frapper à la fenêtre et demandent à être introduits, réflexions de fillettes qu'on veut marier à de vieux richards, conseils de vieilles commères aux jeunesses qui interrogent leur expérience des hommes et des choses, épousailles grotesques, disputes d'époux, allégresses de veufs, épisodes de toute espèce, de toute forme et de to

illes. Cette coutume, dont le c?té pur et gracieux a été poétisé dans la chanson de Ma Nannie ?!, se retrouve ici avec ce qu'elle

à la porte de

st là, sin

hemin, vous n'e

j'entrerai,?

d si semblabl

voir,? di

, vous aurez fa

je le ferai,

ve et vous l

i entrer,?

ez éveillée ave

je le ferai,

chambre vo

i rester,?

ous n'y restiez

je le ferai,

estez ici

erai,? di

vous ne retro

je le ferai,

se passer dans

e passer,?

e jusqu'à votre

le tairai,? d

e haute, connaissant, sans doute, par pur instinct de femme, la vérité du conseil d

votre mère n'est

rendre la

a fenêtre de

pour me gard

fenêtre de v

l fait fro

ffer sur vot

tte, puis-j

, si vous a

gère n'est pa

la fenêtre

suis couc

échauffer s

ien ce que

qu'à moi pass

entendez-vo

de laisser le pauvre gar?on, qui vient de si loin à travers les moors, se morfondre sous les rafales; en été, les sillons d'orge sont bien tent

je viendrai ver

je viendrai ver

mère en devi

je viendrai ver

ntion quand tu vien

oins que la porte de derr

barrière, que per

si tu ne vena

ché, partout où no

me si tu t'en souciai

regard de ton

l'air de ne pa

ujours que tu ne te

eux légèrement rabais

pas une autre, mê

ne détache ta

je viendrai ver

je viendrai ver

mère en devi

viendrai vers to

funestes. Et ici la vie de la campagne para?t dans son jour vrai, avec la facilité, ou plut?t la na?veté, de m?u

auché à l

fauché a

s pas de

nt, je l'

me p

ourrir

it rien

ie et un s

Gray. Il suffit que la selle soit vieille et que la sous-ventrière casse, pour qu'il se produise des ch

r vous, Du

la sous-

ur vous,

la sous-

autres von

assise to

berceau av

e la sous

ait la lu

la sous-

essus de toute

la sous-

ière cassa, l

bonnet et mes

vous êtes un

ette mauvaise

si vous tenez

la sous-

rai à mon de

la sous-

re nous port

tre John rép

ra la sous-ve

isser. Là encore, que d'emb?ches! Ces tisserands

jadis aussi j

rs d'été ét

and de l'ouest

changer m

, si vous allez,

serand, si

is, n'allez j

ez chez le

'a envoyé

urdir un tis

rdissage m'a fa

e soupirs,

s tisserand

t assis à

n c?ur comme

uts de fil

dit ou ce q

e prenne s

i peur que le

aussi bien q

Ces duretés se font jour, avec ce manque de pitié qui est commun aux paysans et aux enfants, et qui donne à leurs remarques quelque chose de si direct et de si cruel. C

couchée de tr

tes couchée

s couchée dan

un homme

ées sont deve

verte que l'h

est plus cou

t pas raccourci d'

vous avez f

rez le mépri

que vous pr

z avant le ma

us dansiez su

s bois, vous ch

ageant une ru

fait piquer,

ncien président du Club des Célibataires de Tarbolton. On se souvient que le premier sujet de discussion avait été de savoir s'il vaut mieux épouser une femme riche et sans charmes qu'une femme

s conseils que le père Maurice donne à Germain au début de la Mare au Diable. C'était aussi l'av

orcellerie de la

beauté que vous se

fillette qui a de

ne fillette avec

r la fillette

r la fillette

r la fillette

guinées jau

une fleur qui f

us vite qu'elle a

élicieux des jolie

vêtit à neuf de jol

otre beauté a e

auté peut fatiguer,

ts chéris, avec l'e

les avez, et plus vo

ise et demie. Il y a de fines mouches qui savent bien à qui ces dé

x fait grand ca

fait grand cas

ne sait pas que

joyau qui a des

omme qu'il veut

el qu'il veut so

ombé si amoure

ui rester un peu d'

ur advienne ce qui voudra! Quand le mariage leur rapporterait un peu plus de bois qu'ils n'y comptaient, c'est une faible erreur de calcul. Ils ont simplement la large mesure. Mais il se rencontre de braves

u auquel il pla?t à leur famille de les accorder! Quel défilé de pauvres filles qu'on veut faire marier à

uels sont

ment que l

riche

t la pauv

la fille

e choix d

ne d'un pèr

épouse malhe

uloureux, Burns est intarissable. Il y a à grouper, autour de ce seul point, une quinzaine de chansons avec lesquelles on constituerait toutes les phases de cette aventure commune, depuis les premières instances des parents jusqu'au moment où les résulta

n'épouse pas Tam Glen? Il y a un propriétaire voisin qui se vante et parle toujours de son argent, mais quand dansera-t-il comme Tam Glen? Sa mère lui répète de se défier des jeunes hommes qui ne flattent que pour tromper, mais qui peut penser cela de Tam

lle-moi, chère

ai une belle

avises d

e préfère, Ta

es. Elles s'adressent quelquefois à des commères avisées, quelque d

tourdie, la vi

lus heureux, la

ieux les ma

ui ont faim son

pense et l'a

s têtes veulent

aurez brassé,

ue vous tirerez

r n'ont jamais acheté un c?ur loyal, que le fardeau que l'amour porte est léger, que le contentement et la tendresse apportent la

sacs d'écus. Elles leur disent leur fait comme des filles qui ont la langue leste et dont la main le serait aussi. Il y en a une entre autres qui ne va p

-sang peut fl

té éclore d

geler la plu

homme ne me

oi, et moi

faux et sa lan

e que vous ne

homme ne me m

sa farine et

n b?uf frais e

on or et son

mme ne me m

lui acheter va

ui acheter vall

a jamais, ni à f

mme ne me m

cassé en deux,

ns dents et sa vi

de ses yeux rou

e ne me mèner

ue qui ne permet pas de se méprendre sur ce qu'elles pensent. Il y a de petites niaises qui probablement s'imaginent, comme l'ingénue de Molière, qu

ce que grand'

a fait, ce que g

ce que grand'

jeudi s

ise dans u

doux, dans

ise dans u

haité bons

s ce que le

fait, le c

s ce que le

ues gros s

sur moi un

omme, un

sur moi un

pu m'effr

s qu'une jeu

ature, une je

s qu'une jeu

e pour me pl

lise qui e

lamer, qui

une jeune

un homme sur

les femmes que de surface; la plus innocente est prompte à se délurer. Alors le dépit vient, et les reproches, dont on se fait une provision d'excuses pour soi-même. à ce compte, les dé

e jeunesse, que f

ne jeunesse, ave

cus qui ont p

y pour de l'arge

cus qui ont p

y pour de l'arge

à se plaindre

bo?te, toute la

est engourdi, s

nuit avec un vie

est engourdi, s

nuit avec un vie

grogne, il s'agi

s content, quo

et jaloux de tou

jour où j'ai rencon

et jaloux de tou

jour où j'ai rencon

te Katie prend

ayer de sui

e le harasserai, tan

cuivre me procure

je le harasserai ta

vre me procurera un

erie. Les demoiselles de la ville ne leur en remontreraient pas sur ce chapitre. Ce manège est heureusement exposé dans une chanson qui est une vraie petite comédie. Les refus prétendus du commencement, la niaiserie de l'amoureux qui les prend pour argent comptant et cherche à se consoler ailleurs, le dépit de

bel amoureux descen

, m'obséda av

ait rien que je ha?

te de m'avoir cru

emporte de m

ards de mes jo

se mourrait d'

vait mourir quan

rdonne d'avoir me

me pardonne

ssit?t. Elle pensait bien qu'elle pouvait avoir de pires offres

suivante, tourm

a foire de

, sinon mon bel

mme si je voyais un

x comme si je vo

épaule gauche, je l

oisins ne disent

nsa comme s'il

sa chère fillette,

j'étais sa c

cousine, tout doucem

ait recouv

rs neufs allaient à s

mme il se mit à

comme il se

l'amour de Dieu

le tuerais

server la vie d

dois l'épouser

e dois l'épous

s, celle-ci est faite de grosse ga?té, le récit est interrompu par un grand éclat de rire qui éclate à chaque instan

st venu ici f

la jol

de No?l, quand

la jol

eta la têt

de c?té e

t de se t

la jol

tta, et Du

la jol

de comme Ail

la jol

et rentra de

es yeux rouge

uter dans u

la jol

e No?l, son attitude gauche, et celle sottement dédaigneuse de Maggie sont b

Chance sont c

la jol

igné est dur

la jol

omme un s

ipie hautai

r... en France

la jol

fit, que les doc

la jol

à mesure qu'

la jol

ne peine en

es soupirs po

eux disent de

la jol

it un gars

la jol

ait en ma

la jol

ulut pas cau

lui étouff

ls sont conte

a jolie c

s inaper?u. C'était souvent un jour de lourd

belle noce

jour de l

ondance de bo

p de joie

ient, et les vieille

s dansaient

au lit, avec

toutes ses

goutte de whiskey le matin. Tout le monde semble y avoir été gris.

mment Meg du moul

ment Meg du mouli

gris qu'il tomba t

Meg du moulin fut

urs. Du c?té attrayant, à peine une petite chanson, pleine de cranerie et de belle humeur, fredonne-t-elle la joie d'un homme tout fier d'

ne femme po

agerai ave

ne me f

rai cocu

penny à

it rien à

en à pouvo

unterai d

je ne suis

i esclave

rave épée

e de coups

libre e

triste pou

ne n'a so

souci de pe

res, de maritornes, de viragos acariatres, hargneuses et malfaisantes qui criaillent, disputaillent et braillent, au jour la journée. Elles font de leurs pauvres hommes de vrais martyrs[679]. Une d'elles boit et casse sa quenouille sur la tête de son mari[680]. Une autre reproche au sien, depuis sept longues années de n'être plus qu'un vieu

rtirent avec d

fait tomber g

masse, cria la g

is été qu'u

sortant, il cla

e, matin e

s années que je c

us qu'un vieux

aire, ma vieill

te taire,

e jour et

ais pas si

tu mettais du beu

essais, soir

is plus? est v

n ressens dur

es; plus d'un ne s'y fie pas. L'un des maris nous prend à moitié dans sa confidence, mais il a peur et s'arrête à mi-chemin. Il y a, dans cette chanson de deux strophes, toute une scène de comédie. Il faudrait l'analyser, mot à mot, dans l'original, pour voir ce qu'il y tient, dans un si court espace, de colère, de pe

commen?a à ê

ais-je, était

ommes mariés; n'en

s sur l

ce et Meg éta

était l'enfan

que moi ont

s sur l

us vivons,

us aimons et

peu que beauc

s sur l

ais la voir

s un plat

écrire, mais M

sur le re

resque inexplicable que donne aux ballades ou chansons populaires un vers, une image, un nom de plante qui semble n'avoir aucun rapport avec elles, et qui cependant fait leur attrait. Il est v

vait dans les cot

e cro?t bien

emme qui était la

flétri et la ru

eil homme remonta

e cro?t bien

able, qui lui dit:

flétri et la ru

nte femme, Monsieur,

e cro?t bien

spect, près d'elle

flétri et la ru

rai ni ton poul

e cro?t bien

femme, homme, ca

flétri et la ru

nu, volontiers? dit l

e cro?t bien

paire avec elle, vous ê

flétri et la ru

s la vieille fe

e cro?t bien

e colporteur, il a

flétri et la ru

hez lui, à la por

e cro?t bien

d'entrer, comme

flétri et la ru

l fit que cinquan

e cro?t bien

der, en un cla

flétri et la ru

a sur eux comme

e cro?t bien

ttrapait n'y r

flétri et la ru

umé passa la tête

e cro?t bien

e, au secours; ou elle

flétri et la ru

ra par le fil d

e cro?t bien

l'homme qui étai

flétri et la ru

ura par l'égli

e cro?t bien

l d'être en enfer

flétri et la ru

remis en route

e cro?t bien

pportée à so

flétri et la ru

depuis déjà u

e cro?t bien

été en enfer avant d

létri et la rue

illité, vient leur enlever leur femme. Ils ressemblent tous au veuf de Béranger[684]. Ils ont des regrets pl

une femme

ième jour

t rendu las

langue

ai porté le

nnu mainte

oit dit à mo

sa vie est

as en enfer, car le diable ne pourrait la supporter. Un autre qui a un peu

ds, je chanta

avant, derriè

ue j'épous

au bout d'u

si on a été malheureux, il faut éviter de le redevenir. Les uns, les plus sages, ne démordent plus de cette seconde conclusion. Comme le mari de tout à l'heure, ils préfèrent avoir une corde au cou qu'une femme. On ne saurait les en blamer. D'autres, hommes de beaucoup d'audace

r à remettre des den

laisir à faire

aisir à rétamer

ma Katie quand

jour, je frappe

jour, je siffl

gue nuit, je ca

nuit, je suis heu

chagrin, je go

Bess pour lui do

elle s'est refroid

t qui chante

s bras, ma Ka

bras et embra

toujours à ta s

ur où je me r

imes; et si, dans la poésie, la belle reine Guinevra a trompé le bon roi Arthur pour le brave chevalier Lancelot[688], ce sont des personnages si immatériels et si distants que c'est un adultère tout idéal. Pour voir ce qui lui manque de chair, qu'on le compare à celui de Fran?oise de Rimini[689]. Mais il faut bien entendre que cette décence est une convention littéraire et une pure tenture. La vie est partout la même, et l'adultère est chose trop humaine pour faire défaut à une race bien constituée. Si les nations du midi en ont fait un des grands ressorts du d

faute?-était

aute? Elle me

t sur le bord d

onduit par le

ne voulais

appelé

et l'état auraient

de cheval quand

nt, elle m'a

ndé de ne pas

vieil homme

tre c?té de

dira que j

i embrassée

plante à

ensuite si j'é

êtement, pouvai

honnêtement

té un homm

iter sans

t avec le pei

rissait rou

ari n'était pa

femme qui ne l

ngtemps ses

is le brut

ien que sa b

me du suc

le crépuscu

'arrêtai

dans la ros

u cognac chez le j

alent des chansons qui complètent cette scène déjà si variée. Ce sont parfois de simples riens, jetés en l'air, au hasard, tels que ceux qu'on fredonne sans penser, en

meunier

habit p

e un sh

dépenser

x était

était la

était l

onna le

meunier

sac p

oit le

t la bours

argent p

nerais

unier poud

ines et les vallons sont perdus dans la neige; mais, la jolie Peg de Ramsay a toujours à moudre à son moulin[692]. C'est le joueur de cornemuse venu du Comté de Fife et qui a joué à la cous

a va-t-il

t alle

te du m

x pint

a va-t-il

t vont le

'enfants

dit: ?J'e

ils tous

?a, non,

re eux ont

nny n'éta

aiment bie

s aiment

iment les

llettes,

s endormis, end

us endormis à

leur sont les hommes en qui on peut avoir confiance. Ce n'est rien: quatre strophes de quatre vers. Cependant la scène y est tout entière et fort jolie. On voit arriver la fillette tout occupée, comme il sied à son age, de cette obscure question. Comme elle ignore encore que ce

dame, dite

e peut mie

uleur doit ê

vraiment

emme s'agita

rire et

une chanson d

ady, un h

fillette des c

e te le dis

commodée de c

font fort b

mour dans les cheve

e deviennent

asse et serre-moi

erveilles dans

oup de coude. Elles sont plus drues et plus gaies dans les chansons écossaises que dans celles des Anglais. Peut-être un fonds de joyeuseté celtique, peut-être l'influence fran?aise, en sont-elles la cause? Même à ce filon extrême Burns a emprunté; il en rapporte des modèles de grosse dr?lerie populaire. Il a repris cette note de temps plus francs et de plaisanterie plus libre, et l'a rajeunie, tout en lui conserva

à travers le lit, av

à travers le lit, av

ient minces, les dr

à travers le lit, av

ormie ne craign

ormie ne craign

oid, la fillette

ailleur ne pouvait p

ore un liard, r

re un liard, ru

ourt et la nu

er argent que j'

qui est triste

qui est triste

i sont tristes et

lleur, revenir en

onnelier de Cuddie qui fait

de Cuddie e

des cercles

ère a re?u un

n colère so

le tonnelier de

porte, derri

le tonnelier de

ouvrirons d'

cha dehors, il l

au diable, et qu'el

t était si stupi

t pas où il al

le matin, ils on

re ma?tre fut u

front elle lui a

'elles res

le tonnelier de

porte, derri

le tonnelier de

trons sous un

rd. C'est une comédie multiple, tour à tour malicieuse, légère, bouffonne, parfois presque grossière, parfois presque émue, une suite inépuisable de caricatures, tant?t subtilement crayonnées comme pour des délicats, tant?t brutalement charbonnées comme pour mettre en branle de pesantes ga?

. Il faut aller aux grands poètes impersonnels, aux grands montreurs de la vie humaine, à Shakspeare ou à Molière, pour trouver des exemples de ce double coup d'?il. Burns l'a eu et, parmi les poètes personnels, il est le seul. Il a opposé à toute une série de pièces pleines des adorations de l'amour, toute une autre série pleine de ses dérisions. Il en a écrit pour ainsi dire la farce. C'est à nos yeux une autre preuve du fonds de poète dramatique qui existait en lui. Nous avons été surpris de trouver dans le remarquable essai de M. Stevenson que Burns n'avait donné d'indice de puissance dramatique que dans ses Joyeux Mendiants[699]. Le seul fait

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1 Chapter 1 LES VIEILLES BALLADES[18].2 Chapter 2 LES VIEILLES CHANSONS.[83]3 Chapter 3 LES PETITS POèMES POPULAIRES.4 Chapter 4 L'OBSERVATION DIRECTE ET LE MOUVEMENT.5 Chapter 5 L'HUMOUR DE BURNS.6 Chapter 6 QUE LE GéNIE DE BURNS ABOUTISSAIT AU THéTRE.7 Chapter 7 LES ASPECTS NOBLES DE LA VIE. - L'éCHO DE LA RéVOLUTION FRAN AISE. - BURNS POèTE DE LA LIBERTé ET DE L'éGALITé. - LA POéSIE DES HUMBLES.8 Chapter 8 LA POéSIE DE L'AMOUR.9 Chapter 9 LA COMéDIE DE L'AMOUR.10 Chapter 10 CE QUE BURNS A VU DE LA NATURE.11 Chapter 11 LA TENDRESSE POUR LES BêTES.12 Chapter 12 OUVRAGES SUR LE DIALECTE éCOSSAIS DES BASSES-TERRES ET LA LANGUE DE BURNS.13 Chapter 13 PRINCIPALES éDITIONS DE BURNS, ET PRINCIPALES BIOGRAPHIES.14 Chapter 14 RENSEIGNEMENTS SUR LA FAMILLE DE BURNS, SUR DES PéRIODES PARTICULIèRES DE SA VIE, SES CONTEMPORAINS. DOCUMENTS DIVERS.15 Chapter 15 LA CONTRéE DE BURNS.16 Chapter 16 PRINCIPAUX ARTICLES DE CRITIQUE MORALE OU LITTéRAIRE SUR BURNS. DISCOURS. - VERS.17 Chapter 17 HISTOIRES GéNéRALES18 Chapter 18 LA VIE RELIGIEUSE, LA RéFORME, LE PRESBYTéRIANISME. L'ORGANISATION DU CLERGé, LA DISCIPLINE, LE MOUVEMENT D'éMANCIPATION.19 Chapter 19 No.1920 Chapter 20 DESCRIPTION DU PAYS éCOSSAIS. LES BORDERS. - LA COTE OUEST. - LES HAUTES-TERRES. - SITES ET SOUVENIRS HISTORIQUES.21 Chapter 21 OUVRAGES SUR LES M URS, LES HABITUDES, RECUEILS D'ANECDOTES, ROMANS QUI SERVENT à SE FORMER UNE IDéE DE LA CONDITION ET DE LA VIE DU PEUPLE.22 Chapter 22 HISTOIRE LITTéRAIRE DE L'éCOSSE. CHANSONS, BALLADES, PETITS POèMES. SUCCESSEURS DE BURNS.23 Chapter 23 Boucher.-William Cowper, sa correspondance et ses poésies, par Léon Boucher. Paris, Sandoz et Fischbacher, 1874.24 Chapter 24 de Laprade.-Histoire du Sentiment de la Nature, par Victor de Laprade. Prolegomènes. Didier, Paris, s. d.25 Chapter 25 Shairp.-Studies in Poetry and Philosophy, by J. C. Shairp. Third Edition Edinburgh, Edmonston and Douglas, 1876.